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Revisiter l’œuvre de Shakespeare dans une sobriété absolue, où les mots ont plus d’importance que l’action, c’est ce que Tiago Rodriguez nous offre sur le plateau avec Antoine et Cléopâtre, l’histoire bien connue de cet amour impossible entre l’héritier de l’Empire Romain et la reine d’Égypte. En toute simplicité scénique mais avec grande force expressive, cet homme sait indéniablement raconter.

À quelques jours de l’arrivée en librairie de Bones of the Past, le premier roman de la saga des Books of Dust and Bone, l’auteur Craig A. Munro, établi à Ottawa, prend le temps de répondre aux questions de Pieuvre.ca et nous parle de littérature, d’univers fantastiques et d’influences formatrices.

Amateurs de BD, voici l’occasion d’aller siroter une pinte de bière à l’angle Ontario / St-Hubert. La légendaire brasserie artisanale Le Cheval Blanc célèbre son 30e anniversaire et présente l’exposition de peintures Personnages du 23 mai au 25 juin regroupant 27 auteurs de la bande dessinée montréalaise. Le Festival BD Montréal (FBDM) y tiendra une soirée, ce samedi dès 19h.

Les cinéphiles montréalais, et plus particulièrement les résidents de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, ont jusqu’à dimanche l’occasion de découvrir ou redécouvrir les productions québécoises du septième art dans le cadre de l’événement Porc-épic – Le cinéma qui démange.

Des robots autant, sinon plus intelligents que l’homme; la possibilité de fusionner homme et machine; des remèdes médicaux pour prolonger la vie de 50, 100, 150 ans… L’avenir réserve bien des surprises, et une nouvelle série documentaire intitulée Year Million, diffusée sur la chaîne National Geographic aux États-Unis, tente d’y voir un peu plus clair.

Outre le changement morphologique des obèses morbides, le spécialiste de l’histoire de la consommation à la University of London Frank Trentmann retrace la chronologie du consumérisme dans l’ouvrage Empire of Things: How We Became a World of Consumers, from the Fifteenth Century to the Twenty-First, paru en 2016.

Doug Liman ne manque pas d’ambitions et on sait que bien qu’il soit capable du pire comme du meilleur, il a une façon bien à lui d’insuffler à Hollywood un vent de fraicheur qu’on ne renie habituellement pas. Malheureusement, en voulant user de métaphores pour philosopher sur la guerre, voilà que le cinéaste nous offre l’une de ses pires propositions avec The Wall.