DreadfullWater, un roman en petites touches, empreint d’ironie, avec des personnes en proie à un doute bienfaisant. À lire pour se dépayser.
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La princesse du rythme est une porte ouverte sur l’existence d’une artiste que le temps a englouti. Une parmi tant d’autres, dans ce vaste groupe de gens qui ont connu le succès, oui, mais seulement pendant un temps.
Ce que Téa Mutonji écrit, le lecteur le reçoit en plein visage. Dire que l’expérience est agréable serait bien honnêtement un mensonge, mais l’objectif de la littérature n’est pas nécessairement de faire plaisir. Et c’est tant mieux.
Il prend le temps de poser les choses et son univers en ressort très fouillé, bien construit, si bien qu’on a confiance en l’avenir de la série qui est prévue en sept tomes.
Noces de coton n’apporte pas de réponse à ce questionnement tout à fait d’actualité. Mais la réflexion demeure importante, essentielle, même, pour espérer trouver de nouvelles portes de sortie et ainsi sortir de ce cercle vicieux.
Dans tout cela, certains rares moments sont bel et bien prenants. Mais ils sont noyés dans un océan de médiocrité littéraire.
Avec ce roman trop court pour son propre bien, Pierre-Louis Gagnon rate malheureusement une belle occasion de nous présenter une période historique complexe et fascinante.
Roman franchement efficace, roman bien écrit, Embers of War est un ajout tout à fait sensé à la bibliothèque de l’amateur de science-fiction qui sommeille en chacun de nous.
Un roman à mettre entre les mains des hommes et des femmes qui ont perdu des enfants, oui, mais pourquoi pas entre les mains de tous?
Si les derniers chapitres sont heureusement plus enlevants et offrent davantage de profondeur, La Team Batista déçoit hélas par son côté beige et quelque peu ennuyeux.