Ces glaçons spatiaux ne seront cependant pas nécessairement faciles à trouver. La plupart de cette glace se trouverait près des pôles, ensevelie sous plusieurs mètres de poussière lunaire, ou régolithe.
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C’est sans compter la dizaine d’autres indicateurs (glaciers, événements extrêmes, inondations, canicules, etc.) qui, sans avoir battu un record, sont largement dans la moyenne supérieure des dernières décennies ou du dernier siècle et demi.
Il y a pu y avoir, au fil des milliers d’années, un grand nombre de petits groupes nomades qui ont découvert cette forme de subsistance puis l’ont abandonnée ou oubliée, au gré de leurs déplacements.
Le constat semble être qu’il serait bel et bien possible à une éventuelle colonie lunaire de faire pousser quelque chose dans le sol de notre satellite naturel.
Plus d’un milliard de personnes vivent dans des zones côtières à faible élévation par rapport au niveau de la mer.
Un peu partout dans le monde, l’activité humaine y contribue: la construction de barrages, le pompage des nappes d’eau souterraines, les eaux de drainage des exploitations minières et les sels de déglaçage des routes.
Autre superlatif : cette masse de 4,14 millions de fois notre Soleil est concentrée dans un espace de la taille de l’orbite de la planète Mercure.
Les auteurs du rapport appellent les nations du monde à adoptée une approche qui ne serait plus réactive, mais plutôt basée sur les risques, et qui s’appuierait donc sur des mesures de mitigation et de contrôle avant que les sécheresses ne se produisent.
Ce serait la première fois qu’on observe un mammifère capable d’imiter ainsi le bzz-bzz d’un insecte.
« Il faut continuer à documenter ce qui se passe après les inondations et repenser la coordination des interventions de manière globale, entre tous les intervenants, des ministères impliqués aux assureurs, en passant par les équipes de travail social, afin de mettre en commun l’expertise pour y répondre mieux et plus localement. »