Le réchauffement climatique ne fera pas que créer des ouragans plus forts: on verra plus souvent des ouragans qui gagneront plus rapidement en force. Avec toutes les conséquences que cela implique sur les populations qui auront moins de temps pour se préparer à l’arrivée de la nouvelle tempête.
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On a ainsi découvert que la partie végétalisée de l’Antarctique est passée d’une surface totale d’environ un kilomètre carré, en 1986, à près de 12 kilomètres carrés en 2021.
Une recherche parue en 2022 soulignait qu’aux États-Unis, cette « migration climatique » allait amplifier dans les prochaines décennies des tendances déjà amorcées sur le plan démographiques, en particulier un vieillissement accéléré de la population dans certaines régions.
Au cours de cette période, soit le milieu du siècle dernier, on a recensé les changements mondiaux et permanents les plus évidents. C’est à ce moment que des substances organiques polluantes ont commencé à être détectées à l’échelle mondiale, en plus de l’apparition des plastiques et microplastiques dans l’environnement.
« Heureusement, nous disposons de la technologie pour transformer ce problème en une opportunité d’affaires pour les éleveurs, qui pourront réduire leur facture d’énergie s’ils capturent et utilisent le méthane comme carburant. »
Dans le scénario « moyen » d’augmentation des gaz à effet de serre que privilégient les climatologues, un « El Niño extrême » se produirait désormais une fois par décennie, plutôt qu’une fois par deux décennies, comme ce fut le cas au cours du dernier siècle.
Rien que depuis le début de la décennie (2021-2024), c’était le 4e ouragan de catégorie 3 ou plus (l’échelle de Saffir-Simpson compte 5 niveaux) à frapper la partie continentale des États-Unis.
De quelque façon qu’on fasse le calcul, il est certain que la société paie déjà en partie la facture des changements climatiques. Même si certains coûts indirects sont difficiles à évaluer pour le moment, les dépenses en cause sont vraisemblablement en train d’augmenter.
Déjà, à la mi-septembre 2024, on recense quelque 200 000 feux de forêt au Brésil depuis le début de l’année, plus du double de ceux calculés pendant la même période l’an dernier.
Les chercheurs, provenant de trois pays, se sont appuyés sur des estimations précédentes, selon lesquelles le 1% le plus riche de la population des États-Unis est responsable de plus d’émissions de GES que les 50% les plus pauvres. Or, d’après leur enquête, aux États-Unis, plus de la moitié de la population sous-estime cette empreinte carbone par un facteur de 10.