« Face à la destruction généralisée et aux très fortes restrictions imposées à l’acheminement de l’aide vers Gaza, qui ont des répercussions sur l’accès à l’eau et à d’autres articles de première nécessité essentiels à la survie de la population, il est urgent que la communauté internationale prenne des mesures décisives afin d’éviter de nouvelles souffrances en faisant respecter la justice et les droits humains. »
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Ces morts indirectes seraient des décès à plus long terme, affirment les chercheurs, et seront imputables aux conditions terribles prévalant dans cet espace particulièrement restreint, conditions qui devraient prévaloir pendant encore des années, sinon des décennies, en raison de l’ampleur des travaux de reconstruction nécessaires.
Dans la foulée de la reprise de la guerre à Gaza, mais aussi dans le contexte de vives tensions internes, notamment en raison d’une réforme de la Justice menée tambour battant par le gouvernement Nétanyahou, qui lui donnerait la capacité de rejeter des jugements de la Cour suprême, 50% des Israéliens sondés se disent pessimistes quant au fonctionnement de leur système politique, contre seulement 35% d’optimistes.
De plus, un peu moins de la moitié des participants croient qu’Israël « atteindra certainement » ses objectifs dans la bande de Gaza, soit « la destruction du Hamas » et le « retour des otages » enlevés le 7 octobre.
La période de conflit active, c’est-à-dire les 120 premiers jours de la guerre, sans tenir compte de la période de construction d’infrastructures, a entraîné l’émission de 420 000 à 652 000 tonnes de CO2. Si l’on tient compte de la construction avant et après la guerre, le total augmente de façon importante, pour atteindre une fourchette allant de 47 millions à 61 millions de tonnes de GES.
La directrice de CNEWA Canada dit fonder beaucoup d’espoirs « dans la diplomatie canadienne, que notre gouvernement intervienne et nous donne la possibilité d’aider, d’avoir un impact positif et palpable. Parce que nous attendons d’avoir la permission d’aider ».
« Où est l’humanité ? Des millions de civils sont punis collectivement au vu et au su du monde entier. Rien ne peut justifier l’utilisation de la faim comme arme de guerre. »
Au manque d’électricité et d’eau potable pour 2,3 millions d’habitants s’ajoute à présent le risque de maladies causées par l’utilisation d’eau impropre à la consommation, en premier lieu la dysenterie et le choléra.
« Dans cette situation, l’aide est désespérément nécessaire. Des personnes ne sont pas seulement tuées lors des attaques, mais aussi à cause de maladies causées par des conditions insalubres. »
« Si l’issue du mouvement de revendication des manifestants iraniens demeure incertaine, une chose semble claire : la révolution pourrait ne pas être télévisée, mais elle sera « aimée », « modifiée » et « partagée en duo ». »