Hugo Prévost discute avec Ève Tessier-Bouchard, la directrice de ce projet offrant une essentielle éducation aux médias, entre autres aspects.
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Moins du tiers des personnes interrogées (26 %) ont indiqué, l’an dernier, qu’elles payaient pour accéder à des nouvelles ou des actualités en ligne.
Anaïs Elboujdaïni répond aux questions de Hugo Prévost sur l’objectivité en temps de conflit, le journalisme de guerre et sur le fait de se retrouver plongée, au hasard, dans la violence et la mort.
Les faussetés prennent souvent la forme de graphiques dont on prétend qu’ils « démontrent » l’inexistence du réchauffement. La plupart du temps, la source n’est pas citée, ou bien il s’agit d’un graphique montrant des dates très soigneusement choisies (en anglais, on parle alors de cherry picking : ne retenir que les données qui nous arrangent).
L’idée de neutraliser la désinformation par des stratégies préventives — soit de « vacciner » contre la désinformation, pour reprendre l’expression de certains chercheurs — a fait l’objet de plusieurs études dans la dernière décennie.
Pierre-Paul Noreau, le président du CPQ, répond aux questions de Hugo Prévost sur le fonctionnement du Conseil, les défis liés aux médias numériques, les enjeux de financement et la question de l’indépendance de l’institution.
Effet possible des réseaux sociaux, ce sont les 18-24 ans qui sont les moins susceptibles d’avoir vu passer une nouvelle sur le climat dans la dernière semaine (42 %), à l’opposé des 55 ans et plus (71 %).
La question des revenus publicitaires, qui est déjà au coeur des tensions entre les différentes plateformes et les médias qui y diffusent des contenus, n’est toutefois pas nécessairement plus claire sur ce service, à l’instar de Facebook, Instagram, Twitter et consorts.
Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.
On est devant des groupes qui, pour défendre leur idéologie, ont désormais un intérêt personnel ou politique à miner la légitimité des régimes démocratiques. Et la désinformation les sert bien —avec un coup de pouce des algorithmes des réseaux sociaux.