En février 2020, l’Organisation mondiale de la santé a lancé une alerte à une « infodémie », ou épidémie de fausses nouvelles. Et la situation ne s’est guère améliorée depuis.
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Il est possible de changer les convictions politique, même chez un public particulièrement polarisé, juge l’étude.
Pour le 69e épisode d’Entretiens journalistiques, Mariève Paradis revient sur cette aventure qui s’est terminée en queue de poisson.
Que l’on soit journaliste indépendant, que l’on ait voyagé entre l’écrit, la radio et la télé, ou que l’on ait fondé un média indépendant – deux fois plutôt qu’une –, en plus d’enseigner le journalisme, travailler dans le domaine des médias poussent à effectuer certains constats.
Il est aussi possible que certaines personnes s’alimentent en bonne partie à des sources de désinformation qui envoient autant de nouvelles trompeuses ou fausses sur les vaccins que sur la guerre en Ukraine
La lutte contre la désinformation est un travail essentiel, mais est-il possible de faire face au raz-de-marée?
Les journalistes occidentaux sont-ils davantage marqués parce que la guerre est aux portes de l’Europe?
Quels sont les liens entre les attitudes antivaccins, les réseaux sociaux et les sources d’information?
Manifestation hors de l’ordinaire, klaxons et insultes: un drôle de climat a imprégné Ottawa pendant trois semaines.
La proportion est plus élevée chez les 18 à 29 ans.