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Le cannabis et ses composés peuvent être bénéfiques pour soulager certains symptômes comme les nausées, les vomissements, la douleur chronique et les contractions musculaires involontaires. Ces bienfaits sont toutefois accompagnés de plusieurs effets secondaires. Pour les autres bienfaits supposés du cannabis, davantage de recherche sera nécessaire, parce que beaucoup de facteurs viennent compliquer l’analyse des résultats.

À ce jour, seulement 10 cas de grippe aviaire chez l’humain ont été détectés aux États-Unis depuis mars dernier. Les experts répètent toutefois depuis des mois que le nombre de cas chez l’humain pourrait être sous-estimé. Des personnes avec des symptômes grippaux, mais qui n’ont pas été testées, pourraient ainsi être passées inaperçues.

En analysant les gènes des participants à cette étude, les chercheurs ont noté que chez ceux qui n’avaient pas développé de symptômes, l’activité du gène HLA-DQA2 était plus élevée que chez ceux qui avaient été malades.

Avec cette nouvelle méthode, il serait possible de réagir dès le premier trimestre et de donner de l’aspirine en traitement préventif. S’il reste dangereux d’en donner de manière préventive à toutes les femmes enceintes en raison de son effet antiplaquettaire, « 90% des femmes enceintes à risque de prééclampsie sévère vont en bénéficier pour améliorer l’implantation placentaire ».

Chez les souris, l’approche a permis de stopper la croissance et la propagation d’une tumeur, révèle l’étude publiée en juin dans le journal Science Advances. Le taux de survie des souris traitées avec les microrobots était également plus élevé que celui des souris ayant reçu le traitement conventionnel (37 jours contre 27). 

Pour l’instant, le taux de cancer augmente plus vite chez les membres de la génération X (nés de 1965 à 1980) que chez leurs parents et grands-parents quand ils avaient le même âge. Ce qui veut dire qu’il pourrait en être de même dans une ou deux décennies chez les milléniaux (nés de 1981 à 1996).

Certes, entre un virus et une tumeur, il y a une marge, mais il y a plusieurs années déjà que la médecine génétique, consciente du fait que derrière une tumeur, il y a des mutations, s’est avisée que si on pouvait apprendre à notre système immunitaire à reconnaître ces mutations, on aurait fait un grand pas en avant.