Une étude compare 115 bébés nés avant la pandémie avec 115 nés de femmes qui ont eu la COVID pendant qu’elles étaient enceintes. Treize de ces derniers bébés n’avaient pas atteint les seuils de développement prévus entre les âges de 6 et 8 mois, contre aucun des bébés « pré-pandémie »
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Il reste néanmoins plusieurs étapes avant de pouvoir prétendre que ce type de vaccin pourrait traiter une longue liste de pathologies.
Ce n’est évidemment pas juste le coronavirus qui est en cause. La grippe et le virus respiratoire syncytial, entre autres, profitent aussi d’airs intérieurs mal ventilés.
La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada rappelle pour sa part que les hormones bioidentiques préparées en pharmacie ne sont pas approuvées par Santé Canada. Leur efficacité n’a donc pas été testée et elles peuvent contenir des impuretés.
« On a tendance à oublier qu’il y a un éléphant dans la pièce : la réglementation, souvent, ne s’adapte pas aux outils. Il y a un gros travail légal à faire pour l’accès aux données, par exemple. »
Il faut se rappeler de la complexité de notre matière grise, et de la possibilité qu’il y ait encore bien des mystères à résoudre.
« Nous savions par des approches populationnelles que les risques systémiques peuvent produire une cascade d’autres évènements et mettre à mal un système et son fonctionnement. »
Au Canada, pour la semaine prenant fin le 2 mai, le nombre de lits aux soins intensifs occupés par des malades de la COVID était de 128.
Le 11 avril, la revue BMC Infectious Diseases annonçait qu’elle retirait l’article, après des semaines d’échanges infructueux entre l’éditeur et l’auteur pour que ce dernier clarifie sa méthodologie.
Les vendeurs d’adaptogènes peuvent bien affirmer que ça fonctionne, mais ils ne semblent pas intéressés à « investir beaucoup d’argent » dans une étude, vu le risque qu’elle arrive au résultat qu’il n’y a aucun bénéfice.