Qu’il y ait ou non une entente à la fin de la COP29, il y aura inévitablement les mêmes frustrations que l’an dernier. Et les réticences des pays riches pourraient être encore plus visibles l’année prochaine, avec les États-Unis de Donald Trump.
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Des taux équilibrés de dopamine sont essentiels au bon fonctionnement de notre cerveau. Mais qu’est-ce qui détermine cette production?
La disparition partielle de cette mer est une réelle possibilité quand on se rappelle le sort de la mer d’Aral, à 1300 km de là. Elle était jadis le 4e plus grand lac du monde, elle est à présent à peine visible sur les photos satellites. Une étude parue en 2021 estimait qu’à ce rythme, la mer Caspienne aura perdu le quart de sa superficie avant la fin du siècle.
Le géant pétrolier Exxon, à lui seul, compte plus de représentants à la COP29 que le Guyana, petit État pauvre d’Amérique du Sud qui connaît un boom pétrolier depuis quatre ans et qui est menacé par la hausse du niveau de l’océan.
Les « mesures » obtenues par les téléphones couvrent deux fois plus de « terrain » que celles des stations scientifiques vouées à la surveillance de l’ionosphère -pour la simple raison qu’il y a plus de régions où on trouve des téléphones.
Peu d’observateurs étrangers s’attendent de toutes façons à une grande liberté de parole en Azerbaïdjan. Reporters sans frontières le classe au 164e rang sur 180, dans son dernier Index de la liberté de presse.
Investissements ou pas, une chose semble claire alors que se déroule la COP29 : à court terme, ce n’est plus vers les États-Unis que le reste du monde regarde pour un leadership politique contre les changements climatiques.
Les auteurs de l’étude notent que la plupart des efforts de captation du carbone sur une durée de 100 ans s’appuient sur des méthodes naturelles, ce qui les rend vulnérables. Un seul feu de forêt, disent-ils, peut entraîner le relâchement de plusieurs tonnes de CO2 dans l’atmosphère.
Si les écologistes ne peuvent pas dire à quelle vitesse la nature sera capable de s’ajuster, en revanche, ce qui est certain, c’est que les hivers ne sont plus ce qu’ils étaient et que ça ne va pas s’améliorer.
La recherche s’est plutôt penchée, au cours des dernières décennies, sur les souris. Mais les cerveaux des chats montreraient des signes d’atrophie et de déclin cognitif qui ressemblent davantage à ce qu’on observe chez les humains.