Se terminant comme un cycle, autant de la vie que du temps et des saisons qui passent, au gré de la fin d’une parenthèse qui se dessine visuellement avec splendeur, on regrettera que cet opus manquera de cette beauté et cette poésie pour se montrer plus marquante. De l’adaptation d’un livre qui aura pris moins de cinq ans pour voir le jour, on se dira que la production de The Room Next Door aurait pu faire preuve de plus de travail.
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Pour le premier épisode de Rembobinage de 2025, Hugo et Kevin passent en revue les oeuvres écoutées entre deux bouchées de dinde, ou encore entre deux marches au gros soleil, dans le Sud.
C’est un très beau travail sur le corps, accompagné de quelques jongleries et acrobaties, et aidé de rares accessoires qui sont prétextes à de nouveaux malentendus entre les deux protagonistes.
On reproche souvent aux adaptations de comics au grand écran de manquer de profondeur et de privilégier l’action au détriment de la psychologie des personnages, mais c’est tout le contraire avec Joker: Folie à Deux. Même s’il est moins bon que le long-métrage de 2019, on ne peut que saluer le risque qu’a pris Todd Phillips, dans une industrie où les suites se contentent la plupart du temps de répéter la même formule ayant fait le succès du premier film.
Très bel objet cinématographique, aux allures de conte fantastique, mais bien ancré dans une réalité profondément triste, La cartomancie du territoire est un documentaire qui repousse, comme tant d’autres, la formule consacrée. À voir, surtout si l’on ne connaît pas encore les obstacles que devra surmonter le Québec, et les fissures qui strient ce grand pays.
Pour souligner la sortie d’une édition intégrale de cette trilogie, Pieuvre a eu l’occasion de s’entretenir avec ses deux créateurs.
Babygirl est ainsi palpitant. Une oeuvre forte qui provoque, mais pour mieux repenser comment on perçoit les gens et ce qui est acceptable, ou inacceptable. Hantant de bout en bout, on en ressort aussi excité que la tête remplie d’idées.
Que les acteurs parviennent néanmoins à garder un certain sérieux dans toute cette entreprise relève de l’exploit, les postures « animales » de notre personnage principal ayant de quoi faire rire aux éclats. Comme quoi, au moins pour les spectateurs, il reste de ce Kraven the Hunter quelque chose de marrant, entre plusieurs scènes d’action tout de même bien huilées.
Moi, ce que j’aime, c’est les monstres – Livre deuxième n’est rien de moins qu’un chef-d’œuvre, tant du côté de son histoire que de ses illustrations, qui se complètent à la perfection. Tous les amateurs du neuvième art tomberont sous le charme de cet album, comptant parmi les romans graphiques les plus importants de la dernière décennie.
Le chef Lussier, armé de son basson, a dirigé tout ce beau monde avec un bel enthousiasme, tout en donnant à cet après-midi de musique des Noëls, un véritable air de fête de famille.