Dans un parc d’attraction où l’on est censé beaucoup s’amuser, une nouvelle participante est accueillie qui en ignore encore les règles. Son arrivée va chambouler provisoirement l’équilibre du groupe.
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Entre art et science, la Rébellion du Minuscule permet de penser la contradiction et l’entre-deux, et de sortir de ce besoin pathologique qu’ont beaucoup d’entre nous de s’accrocher à des pseudos certitudes et de tout ranger dans des cases hermétiques pour en opposer les contenus plutôt que d’essayer d’en comprendre toute leur complexité.
Issue d’une écriture collective, Dernière frontière est une sorte de théâtre documentaire qui s’accompagne de musiques et de chants, de théâtre, d’installations, de vidéos, de performances, d’animations de cabaret, de récits et de témoignages authentiques.
Au son de multiples extraits radiophoniques, Internet ou de conférences accompagnés de musiques, six des artistes s’adressent au public dans une chorégraphie bien orchestrée. Un fantôme silencieux rode qui rappelle que la fin concerne tout un chacun et que tout le monde le sait.
Une comédie qui met de bonne humeur et qui inaugure avec bonheur la saison de théâtre des Écuries.
Comme dans l’œuvre de Genet, l’autrice de son adaptation entretient des sentiments contradictoires à l’égard de la société qui a accueilli ses parents et où elle a grandi tout en entretenant un désir de revanche. Mais quelle revanche?
Au cours d’une soirée double proposée au théâtre des Écuries, deux pièces de cette compagnie déjantée étaient proposées, Léon le nul et Petit bonhomme en papier carbone. Heureusement, les pièces peuvent encore se voir aussi séparément, et si elles semblent rattachées l’une à l’autre par un lien familial – dans la première on parle du petit Léon et de son grand frère dans la deuxième – elles n’ont strictement rien de commun.
La pièce Duo en morceaux, présentée au théâtre aux Écuries, est conçue autour de treize moments clés de l’histoire d’amour de Philippe et Clémentine. Mais chaque représentation n’en propose que sept parmi les seize, six tirés au hasard par les spectateurs et un offert comme un boni, à leur discrétion.
Le bureau de l’APA est à suivre dans ses propositions. Je parierais bien qu’on s’y amuse beaucoup au moment de la conception de ses spectacles, car ce plaisir est parfaitement ressenti lorsqu’on y assiste.
Qui dit Théâtre de la Pire espèce, dit la plupart du temps très bons jeux clownesques, emploi de marionnettes et d’objets bizarres en tous genres, farces, facéties et autres légèretés humoristiques par l’usage immodéré et particulièrement bien vu de nombreux clichés qui rendent les spectacles toujours très agréables.