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À Pixels et préjugés, Hugo Prévost, Louis-Gabriel et Alex discutent des bons et des moins bons côtés de ce hack’n’slash, du contenu de la première saison, de l’infâme (?) mise à jour, et bien plus.

Il faut se l’avouer: le stress ressenti alors que les monstres foncent de tous côtés démontre que ce jeu repose sur des bases solides. Pour un peu plus de 6 $ sur Steam, c’est une affaire en or.

Dans de belles performances de danse ludique et coordonnée, ou qui s’assimilent à du hip hop avec acrobaties, contorsions, clownerie, jonglerie avec planches à roulettes et autres fantaisies qui leur son propres, les artistes nous montrent que la poésie, le jeu, la complicité est à notre portée et ne demande qu’un peu de créativité et d’esprit ludique pour émerger.

Layers of Fear est un véritable classique du genre, et cette nouvelle mouture apporte juste assez de nouveauté pour que même ceux et celles ayant joué aux deux titres originaux de la franchise aient de bonnes raisons d’y plonger à nouveau. Baissez les lumières, montez le son, et préparez-vous à vivre une expérience digne des meilleurs films d’horreur.

L’horreur a trouvé le médium parfait avec les jeux vidéo qui, en raison de leur interactivité, s’avèrent bien plus terrifiants que n’importe quel film, et si vous aimez les sueurs froides et l’épouvante, vous serez comblé avec Amnesia: The Bunker, un titre qui n’est définitivement pas pour les cœurs sensibles.

La pauvreté scénaristique de Trepang2 n’enlève rien à la grandiloquence de ses séquences de combat, qui sont d’autant plus impressionnantes qu’il s’agit d’un jeu indépendant, loin des productions AAA. Mais il faut toutefois être au fait de ce que l’on achète; que les amateurs d’histoires bien ficelées passent leur chemin.

Il est vraiment étonnant que les propriétaires de la franchise Lord of the Rings aient autorisé la sortie d’une expérience de si piètre qualité, qui se vend de surcroît 80 dollars. Il s’agit d’un des pires jeux parus cette année, qui décevra même les inconditionnels de Tolkien.

Timberborn est toujours en accès anticipé, et il reste certainement des choses à améliorer, comme ce concept central de « flot » du jeu. Néanmoins, ce jeu de gestion réussit facilement à se démarquer des autres, et les amateurs de construction et de minutie y trouveront certainement leur compte.

Bien sûr, After Us propose une allégorie à peine voilée sur la façon dont l’humanité est en train de détruire la planète, mais son message ne se fait jamais au détriment du plaisir que procure l’expérience. Il s’agit définitivement d’un des jeux de plateformes les plus intéressants des dernières années.