Pour les inconditionnels, A Complete Unknown demeure un produit de grande qualité, à défaut de nous en apprendre beaucoup ou de réellement fasciner.
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The End demeure une oeuvre assez unique en son genre qui saura ravir ceux qui voudront s’abandonner à un exercice aussi soigné et singulier.
Lorsque défilera son générique, Queer sera désormais parfaitement en fusion avec nous, prêt à ne plus nous quitter et à partager ses mystères, mais certainement pas ses clés ou ses réponses, avec nous. Et, bien que bouleversés, comme on commence à en avoir l’habitude, on lui en sera à nouveau immensément reconnaissant.
Via ces deux exercices mêlant adroitement expériences personnelles et maîtrise de son médium, il fait bon de voir des grands cinéastes ne pas avoir peur de se mouiller et de continuer d’avoir envie d’explorer, d’aller ailleurs (mais pas tant que ça, finalement) et de ne jurer, au bout du compte, que par une chose: le pouvoir infini du cinéma.
Il est clair que Whitehorse pourra trouver son public. Un public amateur d’absurde et de macédoine humoristique. Mais il y a aussi fort à parier qu’une partie de la population, ce journaliste compris, aura mieux à faire.
Très fidèle et bénéficiant d’une production d’une grande qualité, autant en termes d’animation que de doublage, Watchmen ne décevra pas les amateurs de l’œuvre d’Alan Moore et de Dave Gibbons. Souhaitons que la nouvelle génération, qui découvrira ce classique pour la première fois, sera incitée à se procurer le roman graphique original, qui demeure la meilleure histoire de superhéros de tous les temps.
Le Prénom est une belle comédie à voir pendant le temps des Fêtes, pour se détendre un peu. La distribution est excellente et l’action parfaitement menée, autant dans les dialogues que dans la gestuelle.
Le résultat est une fresque familiale menée tambour battant par six artistes talentueux, qui interprètent tous les rôles et déploient devant nos yeux 100 ans d’histoire complexe, attachante, tragique parfois mais aussi heureuse, drôle et bienveillante.
Enfin, via une finale glaçante qu’on voit tout de même venir, T-REX demeure une oeuvre pertinente, soignée, mais qui, malgré les limites de son format, semble s’étirer peut-être un peu trop pour son propre bien.
Plus les participants de l’étude croyaient les stéréotypes sur l’intelligence, plus ils jugeaient que les femmes ou les personnes noires brillantes étaient peu répandues dans la vraie vie.