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À l’heure où la route Transamazonienne, la fonte des glaces de l’Arctique et des siècles de colonisation privent les peuples autochtones de leur écosystème au bénéfice des « Blancs » atterrissant et envoyant un émoticône où ils veulent… les cinéastes Martin Butler et Bentley Dean porte à l’écran un épisode survenu en 1987 d’une peuplade autochtone d’une île d’Océanie dans le film Tanna (2015).

Alors que Tom Cruise tient la tête d’affiche dans la plus récente adaptation du mythe de la momie, avec un film aux allures de produit principalement exportable sur les marchés étrangers et au résultat culturel exécrable, cette énième itération de cette histoire de monstre aux bandelettes donne l’occasion de reculer près de 20 ans en arrière, alors qu’une autre vedette, Brendan Fraser, pourchassait le mort-vivant égyptien dans The Mummy et The Mummy Returns.

Disney a passé des décennies à enrober les jeunesses des uns et des autres de rêves tous plus beaux les uns que les autres. Au fur et à mesure qu’il est devenu le terrible monstre capitaliste qu’on connaît aujourd’hui, il semble s’être donné comme mission récemment de détruire peu à peu tous cesdits rêves pour se mettre à la sauce formatée d’aujourd’hui. Sa reprise en « réel » de l’indémodable Beauty and the Beast ne fait pas exception et promet beaucoup de cauchemars.

Les cinéphiles montréalais, et plus particulièrement les résidents de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, ont jusqu’à dimanche l’occasion de découvrir ou redécouvrir les productions québécoises du septième art dans le cadre de l’événement Porc-épic – Le cinéma qui démange.

Is Ridley Scott having trouble paying for the groceries? Should we start a Kickstarter campaign to help the once-illustrious filmmaker? His latest production, Alien Covenant, is another sad example of studio executives trying to cash in on a franchise that died many, many years ago.

Doug Liman ne manque pas d’ambitions et on sait que bien qu’il soit capable du pire comme du meilleur, il a une façon bien à lui d’insuffler à Hollywood un vent de fraicheur qu’on ne renie habituellement pas. Malheureusement, en voulant user de métaphores pour philosopher sur la guerre, voilà que le cinéaste nous offre l’une de ses pires propositions avec The Wall.

L’ambiance était particulièrement festive à l’écomusée du fier monde vendredi dernier alors que La Mauvaise Réputation lançait officiellement sa boîte de production. Les vestons, cravates et robes n’étaient pas obligatoires, mais fortement conseillés. C’est donc sur mon 36 que je me suis rendue à cette soirée apéro sans alcool aux allures jazz.