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« We didn’t start the fire »… Les paroles de la chanson de Billy Joel résonnent étrangement en tête alors qu’Henry, un quadragénaire aux larges épaules et aux mains de bûcheron, arpente les sentiers d’une réserve naturelle du Wyoming dans Firewatch, un jeu développé par le studio Campo Santo et édité par Panic. Le titre est disponible depuis le 9 février.

Attendue avec impatience durant la décennie et demie qui a su faire grandir son culte, il est impossible de ne pas cacher sa déception face au produit qui nous est ici livré, alors que la suite de Zoolander nous montre une farandole d’opportunités manquées.

À force de trop vouloir en faire, l’adaptation fort attendue du personnage de bandes dessinéesDeadpool s’investit certainement dans l’irrévérence, mais préfère user de facilités à la chaîne au lieu de prioriser l’audace. Le résultat, équivalent à un délire de petits garçons qui sont tombés sur la tête à plusieurs reprises, est rapidement lassant, ça, bien sûr, si l’on implique qu’il a été ne serait-ce qu’un peu amusant ici ou là.

Les romans Harlequin se sont modernisés, mais n’ont probablement pas gagné en qualité comme se reproduisent plus vite que leurs ombres les films issus de romans de Nicholas Sparks et tous leurs équivalents. The Choice en est le plus récent fardeau.

« Ce jeu tuera sans doute votre animal de compagnie ou votre ordinateur. » L’avertissement est là, donné avant même d’arriver au menu principal. Un bandeau ou des icônes rappellent également qu’Ashes of the Singularity, l’un des plus récents jeux édité par Stardock Entertainment et développé par Stardock et Oxide Games, est toujours en version test, tout comme l’indique clairement la page du titre sur Steam. Et à vue de nez, on comprend certainement pourquoi.

Voué à l’échec sur papier, Heist est loin d’être révolutionnaire ou particulièrement bien fait ou ficelé. Il n’en demeure pas moins la solution idéale pour passer un sacré bon moment divertissant où l’on ne se casse aucunement la tête. Tant mieux, puisqu’il est disponible depuis peu en DVD.

L’adaptation cinématographique de la série de romans The 5th Wave est passée à quelques degrés d’être la plus belle réponse à tous ces films d’ados post-apocalyptique qui nous envahissent depuis plusieurs années déjà tellement tous les clichés semblent s’être décidés à s’y retrouver. La différence par contre c’est que le tout se prend diablement trop au sérieux lui enlevant rapidement toute crédibilité et, du coup, tout intérêt.