Ultimement, Vox Populi: Germany 2025 est une tentative intéressante, mais incomplète, pour transposer la chose politique dans une forme vidéoludique. Mais sans la substance politique elle-même, sans les idées, on se retrouve devant quelque chose de malheureusement bien fade.
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Without nostalgia to lean on, the Mighty 8th is a hard sell for me at the moment. It definitely has the beginnings of polish, but it hasn’t made the full leap into the present.
Sympathique comme tout, mais aussi avec un niveau croissant de difficulté qui forcera les conducteurs du dimanche en nous à apprendre à maîtriser nos réflexes, manette à la main, NeoSprint est un divertissement fort agréable. Vaut-il plus d’une trentaine de dollars? On peut en douter. Mais avec une vente, il s’agira certainement d’un titre à ajouter à sa collection.
Alaskan Road Truckers demeure un jeu très jouable et relativement agréable, et peut changer le mal de place si vous vous êtes fatigués des autres titres, mais on ne réinvente pas la roue, ni le transport routier.
Extrêmement ambitieux, particulièrement complet (et complexe), Software Inc. est un excellent jeu qui agira comme une dose de drogue directement injectée dans les veines des amateurs du genre. Il est seulement dommage qu’en voulant ajouter toujours plus de couches de mécaniques, on a sacrifié une partie de la jouabilité.
Prometteur, visuellement superbe, joyeusement violent, ABRISS est un jeu qui se tire hélas dans le pied en gâchant l’expérience utilisateur à l’aide d’une interface obtuse et frustrante. Restons-en à Besiege, bref.
On peut passer sous silence les visuels génériques pour les personnages, le mauvais doublage, ou encore les incongruités avec les armes. Ce qui rebute fortement, ce sont ces contrôles et ces mécaniques brouillons, parfois sans queue ni tête. Attendons la suite.
Il s’agit clairement d’un jeu agréable à jouer, mais j’aurais personnellement du mal à justifier de continuer à jouer après que toute mon arborescence de progression eut été remplie. Sans objectif, ça peut devenir assez vite lassant!
Les très nombreuses qualités supplantent aisément ses défauts, et c’est sans surprise que l’on souhaite continuer à explorer cet univers complexe et riche en événements et aventures de toutes sortes, même après une dizaine d’heures de jeu, et en ayant à peine, semble-t-il, effleuré la surface de ce qu’il est possible d’accomplir.
Le jeu n’est pas encore complètement viable, mais Intercept Games est sur la bonne voie. La seule chose qui pourrait empêcher KSP2 de prendre son envol serait d’être mal reçu et critiqué trop durement par les fans, qui pourraient être refroidis par les prérequis élevés, le prix demandé ou le manque de fonctionnalités.