Camille Poliquin, alias Kroy, livrait jeudi soir son premier concert à Montréal après le lancement remarqué de son album solo Scavenger en septembre dernier.
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Présenté au théâtre La Chapelle jusqu’au 3 mars, le spectacle IDIOT est le second d’une trilogie inspirée par le musicien américain Iggy Pop dont le premier album sorti en 1977 avait pour titre The Idiot. Créées par la chorégraphe Helen Simard en collaboration avec son équipe d’interprètes, ces pièces sont des hybrides entre concert rock et spectacle chorégraphique, des hommages à l’énergie brute et assumée du rockeur.
Le 11 mai prochain, Jean-Michel Jarre, la légende de la musique électronique française présentera au Centre Bell un concert multimédia unique en son genre à l’occasion de sa première tournée nord-américaine en carrière. Une visite exceptionnelle, historique même. Une première dans la métropole que les plus grands fans attendaient depuis 40 ans. Pour l’occasion, nous dépoussiérons la genèse de l’artiste dans ce dossier en deux parties, qui culminera par notre critique du concert donné à Montréal.
Dans le cadre de la Série des Premières de l’Ensemble Arion, ces concerts plus courts et sans entracte du jeudi, c’est à une soirée aux effluves français à laquelle était convié le public, ce 16 février, à la Salle Bourgie.
Décidément, les belles découvertes musicales se multiplient; après BEYRIES, magnifique disque québécois, voilà qu’apparaît Infinite Worlds, de l’artiste rock indie Vagabon. Un tour de force extrêmement impressionnant qui permet de faire connaissance avec une artiste complexe, audacieuse et talentueuse.
L’heure était aux expérimentations musicales à la Maison symphonique, alors que le violoniste bien connu Joshua Bell était de passage à Montréal pour non seulement tirer de superbes notes d’un Stradivarius vieux de plusieurs siècles, mais aussi pour jouer – partiellement – le rôle de chef d’orchestre.
Ah, les Dandy Warhols ont sorti un nouvel album? Et en 2016, qui plus est? Il y a de cela bien longtemps que la formation américaine ne fait plus tourner les têtes. Du moins, pas la tête de ce journaliste. Les albums se ressemblent et soulèvent peu ou pas les passions. Et ce Distortland, donc? Rien d’excitant, mais peut-être le début d’un repositionnement stylistique intéressant.
Ce 12 février, à la Maison symphonique de Montréal, dans le cadre de la série Les dimanches en musique, l’Orchestre symphonique de Montréal recevait la visite de la violoniste Midori et la visite surprise du chef James Feddeck, qui remplaçait au pied levé le maestro Jeffrey Tate, incommodé par des ennuis de santé.
C’est mardi dernier qu’avait lieu le lancement de la programmation 2017 d’Espace pour la vie. L’événement, qui a pris place au cœur du Planétarium Rio Tinto Alcan, se voulait le coup d’envoi d’une année consacrée à la célébration de la vie et d’une nature à la fois énigmatique, essentielle et éphémère.
Vendredi soir dernier, la Maison symphonique accueillait l’Orchestre métropolitain pour une prestation aux accents résolument britanniques. Sous la main de maître d’un impétueux Alexandre Bloch en grande forme, l’Orchestre a transporté le public au début du 20e siècle, en alliant la Downton Abbey Suite de la série éponyme, composée par John Lunn, au Concerto pour violon de Sir William Waton et à la Symphonie no 1 de Sir Edward Elgar. Un mélange aussi rafraîchissant que charmant, que la virtuosité de Jonathan Crow dans le Concerto de Walton ne vient que rehausser d’une touche presque euphorique.