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Il faisait bon revoir la chef assistante de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM), mardi soir, deux semaines après son remplacement au pied levé du chef invité pour le concert consacré aux Planètes de Gustav Holst.

Concert aux ambitions astronomiques, mardi soir à la Maison symphonique, puisque l’Orchestre symphonique de Montréal présentait Les planètes de Gustav Holst. Concert, aussi, où la chef assistante de l’OSM aura eu l’occasion de sortir de la très grande ombre de Kent Nagano.

Concerti Alla Montanari, hé oui, voilà comment la directrice artistique de l’Ensemble Arion, Claire Guimond, a choisi de titrer le concert qui voyait revenir l’admirable soliste et chef invité Stefano Montanari. En effet, nombreux sont ceux qui se souviennent de son passage à la Salle Pierre-Mercure avec Arion, il y a quelque années, pour une interprétation très personnelle et tout autant spectaculaire des Quatre saisons d’Antonio Vivaldi.

Le sacre du printemps de Stravinsky est une de ces pièces exquises du répertoire classique qui ne cessera certainement pas de sitôt d’être jouée et rejouée – peut-être jusqu’à l’écœurement.

Maria João Pires, dans une de ses rares (mais non moins appréciées!) visites en Amérique du Nord, a choisi de s’arrêter à l’Orchestre symphonique de Montréal pour une résidence qui se poursuivra jusqu’au Carnegie Hall au printemps 2016. C’est avec délectation qu’on l’écoute nous interpréter le Troisième Concerto de Beethoven, avec un OSM toujours aussi spectaculaire.

Qualifié de virtuose par la prestigieuse publication The Great Jazz Guitarists, le montréalais Jordan Officer lançait l’automne dernier son troisième album solo, intitulé Blue Skies. Alors qu’il s’apprête à faire sa grande rentrée montréalaise ce jeudi avant d’amorcer une tournée du Québec, Pieuvre.ca s’est entretenu avec le musicien.

Mardi soir dernier à la salle Pierre-Mercure avait lieu le dernier spectacle de l’Orchestre de chambre McGill. Dans La Trilogie de la séduction, on nous présentait une mise en scène de la trilogie classique d’opéras de Mozart et Da Ponte : Così fan tutte, Don Giovanni et Le Nozze di Figaro. Une mise en scène chaleureuse, signée Alain Gauthier, nous met dans une ambiance intime permettant de faire ressortir toute la chaleur des voix des chanteurs dans une ambiance extérieure qui prêtait plutôt au verglas de l’âme.

C’était soir de fête à la Maison symphonique, mardi, alors que l’Orchestre du Festival de Budapest s’arrêtait dans la métropole le temps d’un concert.

Il est toujours délicat de se prononcer sur des EP: ces mini-albums contiennent d’habitude une poignée de pièces à partir desquelles il est difficile de dresser un portrait critique complet. Plus complet, enfin, que ce qu’il est possible de tirer de quatre ou cinq chansons envoyées en hâte aux journalistes culturels.

Dans le cadre de l’an 2 de sa présentation de l’Intégrale des cantates de Bach, l’Ensemble I Musici de Montréal, présentait le 19 décembre dernier, les trois premières cantates de l’Oratorio de Noël, sous la houlette du chef Jean-Marie Zeitouni. Pour l’occasion, l’ensemble était augmenté d’une dizaine de musiciens invités et du Chœur du Studio de musique ancienne de Montréal et, pour les besoins de l’œuvre, de Kimy McLaren, soprano, Mireille Lebel, alto, Frédéric Antoun, ténor et Steven Labrie, baryton.