Browsing: musique

Il serait faux de prétendre que les groupes Daft Punk et Justice ne se ressemblent pas. Tous deux formés de Français issus du même courant musical (la French Touch), tous deux de solides représentants du monde de la musique électronique, et tous deux embarqués dans un retour progressif aux sources de leur art. Quant à savoir s’il s’agit d’un bon choix, bien malin sera celui qui saura trancher.

Matsuev est un habitué de l’OSM. On l’aura aperçu à quelques reprises sur les planches de la Maison symphonique ces dernières années, défendant la culture russe avec fougue et prestance. Hier soir ne faisait pas exception, car le pianiste émérite nous livra le sublime Concerto No. 2 de Prokofiev.

Les cordes étaient à l’honneur vendredi dernier pour un concert attendu de l’Orchestre Métropolitain dirigé le chef-invité Kensho Watanabe et laissant libre court au talent de son premier violon, Yukari Cousineau. On y présentait les plus grandes œuvres de Felix Mendelssohn, le concerto pour violon No.2 en mi mineur et la symphonie No.3 dite « Écossaise ».

À la Nocturne du 4 novembre au Musée d’art contemporain de Montréal ( MAC ), les visiteurs déambulaient à travers les œuvres de la Biennale au rythme des DJs. Accompagné d’un bédéiste qui préfère garder l’anonymat, nous avons comparé nos impressions.

Soirées d’amours incomprises et ultimement vouées à une fin glauque et sanglante, la semaine dernière à la Maison symphonique, alors que l’on donnait une série de morceaux choisis de Roméo et Juliette, de Prokofiev.

Ils sont loups, ils sont libres et ils ne sont pas prêts d’abdiquer à aucune formule que ce soit, que le succès soit oui ou non en jeu. WRONG c’est ça et bien plus, mais c’est surtout le quatrième album du groupe montréalais We Are Wolves.

Le premier rendez-vous de la série montréalaise de l’Ensemble Arion se tenait du 29 septembre au 2 octobre, à la Salle Bourgie. Ces représentations inauguraient une nouvelle offre de l’ensemble à son public: des concerts d’une heure sans entracte, en fin de journée, les jeudis.

Difficile d’ignorer le lancement très attendu de l’album Scavenger de Kroy vendredi dernier à la galerie Artgang de la rue St-Hubert. Le projet solo de Camille Poliquin, alias moitié du duo Milk & Bone, n’avait pas besoin de présentation pour enflammer les attentes du petit gratin artistique montréalais.

Samedi soir, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des arts, avait lieu la première de l’opéra Aïda, du compositeur Giuseppe Verdi. Le Chœur de l’Opéra de Montréal et l’Orchestre Métropolitain étaient sous la direction de Paul Nadler qui a déjà dirigé plusieurs productions avec l’Opéra et dont la dernière était Turandot, en 2014.