Ici par hasard fait les choses différemment. À un point tel, en fait, qu’on ne voit peu ou pas passer les 105 minutes de cette pièce. Une fois les lumières rallumées, on sera fort satisfait d’avoir fait travailler ses méninges, mais aussi ses zygomatiques. Une oeuvre à voir.
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The Electric State peut ainsi faire passer le temps des cinéphiles les moins difficiles cherchant un divertissant particulièrement léger, mais on conseillera surtout de tout simplement passer son chemin et de se débrancher d’un tel supplice. Ce sera, en toute ironie, après tout la morale dégoulinante de la fin. Vous aurez été prévenus.
L’oeuvre oscarisée dévoile le combat quotidien d’un groupe de Palestiniens vivant en Cisjordanie occupée, contre des forces israéliennes qui cherchent, petit à petit, à les expulser de leurs terres.
Black Bag, aussi prestigieux dans son contenant que son contenu soit-il, ne réinvente pas la roue, donc. Et si l’approche est plus chic et pince-sans-rire aux premiers abords, cette énième variation sur tous les Mr. & Mrs. Smith de ce monde divertit avec la plus grande aisance.
Il ne se fait malheureusement plus de grands films comme Amadeus de nos jours, et par sa qualité scénaristique et cinématographique, même ceux et celles qui n’ont aucun intérêt pour la musique classique risquent d’apprécier ce chef-d’œuvre de Milos Forman.
Ultimement, Robots est un très bon premier pas dans le monde aussi fascinant que complexe de la robotique et de l’IA. De quoi poser les bases de plusieurs discussions entre un enfant et ses parents à propos de sujets qui seront à l’avant-plan de l’actualité pour les prochaines années…
Night Ritualz est-il un album inoubliable? Non. Mais ce premier disque de l’artiste du même nom jette certainement les bases pour la suite des choses; en attendant, on peut certainement tamiser les lumières, s’installer confortablement et se laisser emporter par la musique…
L’oeuvre s’inspire de l’oeuvre millénaire de Sei Shonagon pour raconter une histoire mêlant poésie, calligraphie, érotisme… et un jeune Ewan McGregor.
En environ 75 minutes, Stolen Kingdom nous rappelle que Disney World n’est pas un endroit plus « magique » qu’un autre, mais n’est en fait qu’une autre représentation du capitalisme bien souvent sauvage. Il est fascinant, en fait, de voir que des gens sont prêts à payer des fortunes pour des biens qui, en soit, n’ont que peu ou pas de valeur. Un clash particulièrement intéressant entre cette réalité et la curiosité parfois pure. À voir.
Dans le cadre du 20e festival Les Casteliers, on nous propose le récit autobiographique de Mélanie Baillairgé sur le thème de l’eau, récit sollicité par Amélie Poirier, sa compagne de création.