Les cordes étaient à l’honneur vendredi dernier pour un concert attendu de l’Orchestre Métropolitain dirigé le chef-invité Kensho Watanabe et laissant libre court au talent de son premier violon, Yukari Cousineau. On y présentait les plus grandes œuvres de Felix Mendelssohn, le concerto pour violon No.2 en mi mineur et la symphonie No.3 dite « Écossaise ».
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À la Nocturne du 4 novembre au Musée d’art contemporain de Montréal ( MAC ), les visiteurs déambulaient à travers les œuvres de la Biennale au rythme des DJs. Accompagné d’un bédéiste qui préfère garder l’anonymat, nous avons comparé nos impressions.
Ils sont d’origine maghrébine. Ou moyen-orientale. Ils vivent en France. Ou en Belgique. Rachid et Mouloud, rescapés de la première fournée des Lettres arabes, remontent sur les planches de l’Espace Libre, le temps de jeter un pavé dans la mare socio-géopolitique.
Un an après la parution d’un premier ouvrage intitulé On est tous quelque part, le journaliste-animateur de l’émission Infoman, Jean-René Dufort, publie un nouveau recueil de photos aux Éditions La Presse.
Max, Paul et Simon sont amis de longue date. Une amitié joyeuse, assidue et sans nuages. Une amitié virile à base de parties de cartes, de pizza, d’alcool et de séances de bitchage contre leurs femmes respectives.
« Terminator rencontre Predator »; voilà comment un internaute présentait le film Kill Command dans la section spécialisée en cinéma de l’agrégateur de contenu Reddit. Malheureusement, se comparer à deux classiques du film d’action et de science-fiction ne veut pas dire en être l’égal.
Les télévores l’attendaient avec impatience, cette troisième saison de la série d’anticipation Black Mirror. Avec cette nouvelle fournée de six épisodes, la création grinçante du tout aussi caustique Charlie Brooker tourne le couteau dans la plaie et propose des futurs pas si lointains où la technologie vire au cauchemar.
Dans un étrange monastère français situé près de la frontière italienne, 10 écrivains célèbres sont conviés sur l’invitation d’un mystérieux milliardaire. Ils ne le savent pas encore, mais cette rencontre aura une issue funeste.
Il y avait de l’espoir. Enfin, un peu. Mais force est d’admettre que 20 ans après l’Independance Day original, sa suite, Resurgence, est un gaspillage éhonté d’argent sans aucun intérêt cinématographique.
Quarante ans. Quarante ans que la revue Jeu réalise quelque chose qui semble pratiquement impensable, aujourd’hui, à l’ère des blogues, des collaborations bénévoles et des médias numériques à l’existence brève. Car non seulement Jeu parle de théâtre, mais la revue le fait en version papier. Et pour son quarantième anniversaire, elle fêtera dignement sa jeunesse retrouvée.