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Parfois, un simple malentendu peut donner naissance à une véritable comédie d’erreurs, et c’est exactement le cas de Game Night, un film mettant en vedette Jason Bateman et Rachel McAdams.

FTA

La FTA a invité la dernière pièce du néerlandais Ivo van Hove, une réflexion intense sur le pouvoir à partir de trois pièces de Shakespeare, compressées en « seulement » quatre heures trente de spectacle.

Oeuvre pour six danseurs et trois musiciens, Until our hearts stop,de Meg Stuart et présenté au Festival TransAmériques, est un spectacle dense et profond qui nous fait entrer dans un espace de liberté totale du corps.

Fruit d’une réflexion collective menée sur plus de huit ans avec des spécialistes de disciplines variées, l’essai Parce que demain…rêver le territoire – Vers une version partagée de son potentiel de Geneviève Dorval-Douville et Jean-François Gingras paru aux éditions Somme toute est un guide optimiste afin de redevenir maître chez nous, de façon durable.

C’est à l’écoute de la pièce éponyme de Lost Souls, plus récent album de la chanteuse canadienne Loreena McKennitt, et premier disque enregistré en studio depuis 12 ans, que l’émotion pris ce journaliste à la gorge.

Même si l’on participe à un forum virtuel avec des interlocuteurs des 194 pays, c’est souvent par un canal individuel, ordinateur personnel ou téléphone intelligent, que l’on se connecte à la toile. L’exposition Donner corps à l’expérience de l’artiste Rafael Lozano-Hemmer et son équipe présentée au Musée d’art contemporain de Montréal (MAC) jusqu’au 9 septembre propose une expérimentation collective de la technologie.

Dans le cadre de ses démarches pour rajeunir et diversifier le public assistant à ses concerts, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait mardi soir une projection du film E.T., l’extraterrestre. Pour l’occasion, la cheffe Dina Gilbert était aux commandes des musiciens pour donner vie à la fantastique trame sonore concoctée par le non moins excellent John Williams.

L’empire contre-attaque, alors que Disney continue d’épuiser jusqu’à la dernière miette une autre de ses franchises sans fin. Le résultat, visuellement splendide cela dit, agira rapidement comme un somnifère intellectuel, piégeant le spectateur face à une formule qui hypnotise jusqu’au plus profond des possibilités de l’ennui, évoquant en toute ironie une solitude (celle du titre?) nous amenant à espérer être ailleurs.