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Ce dimanche après-midi, à la Maison symphonique, la scène était encombrée: il y avait dessus un piano et Maurizio Pollini. En fait, on pourrait dire que la salle au complet était remplie de M. Pollini et de son interprétation. Mais revenons un peu en arrière et énumérons le programme de ce récital organisé par l’Orchestre symphonique de Montréal.

Au moment où le Canada s’apprête à légaliser la marijuana, le documentaire Cannabis en Uruguay (2015) de Federika Odriozola explique le processus de réglementation de la fameuse plante de A à Z dans ce petit pays du Rio de la Plata, projeté dans le cadre du 9e Festival du cinéma latino-américain de Montréal 2018 au Cinéma du Parc.

Vendredi soir dernier, le quatrième concert de la série montréalaise d’Arion Orchestre baroque avait lieu sous l’archet du violoniste et chef invité russe, Boris Begelman.

Imaginons une société où les riches sont présentés comme des gens intelligents, dotés d’une intuition à toute épreuve, et où chacune de leurs paroles est considérée comme un commandement divin qui sera repris par une presse complaisante. Imaginons, maintenant, qu’un auteur, Stephen Leacock, pousse la chose à l’absurde et en tire un livre, et vous obtenez Au pays des riches oisifs, publié aux éditions Wombat.

Dramaturge de Pina Bausch, Raimund Hogue a longtemps été sur scène sans être sur scène. Depuis quelque temps, il monte sur les planches avec son corps atypique et bossu, dans des pièces mises en scène par lui même et d’un minimalisme absolu. Il est à l’Usine C deux jours avec Pas de deux, et joue Valse les deux jours suivants.

Quelques jours avant sa première présence sur la scène d’un théâtre, l’actrice Charlotte Aubin répond aux questions de Pieuvre.ca à propos de son rôle principal dans Déterrer les os, une pièce de Fanie Demeule et Gabrielle Lessard portant sur le rapport au corps et à l’obsession du physique.

À partir d’un ancien hôpital psychiatrique construit à Saint-Nazaire, en bordure de l’Atlantique, dans le nord-0uest de la France, l’auteur Patrick Deville s’embarque dans une grande aventure littéraire en déclinant l’histoire des grandes, mais aussi des petites gens de l’Hexagone sur près de deux siècles. Il en résulte Taba-Taba, un roman paru chez Seuil.

Il y a quelque chose d’ulcérant à écouter Main basse sur la ville, à observer la médiocrité urbaine étalée à l’écran dans toute sa gloire putrescente. Le documentaire de Martin Frigon, projeté au Cinéma du Parc depuis la toute fin du mois de mars, lève le voile sur l’emprise des grandes compagnies sur le développement de Montréal et des banlieues.

Jean-François et Mariam veulent fonder une famille. Cela impliquera toutefois une série de gestes de grande ampleur pour le jeune homme québécois de souche, qui devra non seulement épouser sa douce moitié marocaine, mais aussi se convertir à l’islam. Voilà qui explique Comment je suis devenu musulman, une pièce jouée sur les planches de La Licorne.