Spécialiste de la presse voyage et touristique, la maison d’édition Ulysse publiait récemment Randonnées de rêve – 50 itinéraires autour du monde. De quoi donner envie de se faire aller les mollets un peu partout sur la planète. À condition d’en avoir les moyens, bien entendu!
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Chez Seuil vient de paraître la première traduction française du tout premier roman du regretté Henning Mankell. D’abord publié en 1973, sous le titre Bergsprängaren, Le dynamiteur annonçait, sans tambour ni trompette, la carrière prolifique de celui qui s’est beaucoup fait connaître par les enquêtes du commissaire Wallander.
En compagnie du photographe Zach Baranowski, l’auteure Sarah-Émilie Nault trace le portrait du milieu montréalais du café dans un beau livre intitulé Caféine – Lieux et artisans d’ici. Le tout est publié chez Parfum d’encre.
Tout ce qu’il y a de plus tordu, vous pouvez tenter de l’imaginer. Mais l’auteur britannique Benjamin Myers, lui, l’a carrément écrit dans son plus récent ouvrage traduit en France, Dégradation, paru tout récemment dans la collection Cadre noir, chez Seuil.
La musique constitue un excellent miroir de la société, et l’évolution drastique du rock entre les années 1950 et 1970 reflète à merveille les remous et les bouleversements de cette époque trouble, que la bande dessinée Autel California nous permet de revivre.
Le goéland mangeur de déchets, l’écureuil saboteur, la poule pondeuse, le chat thérapeute et le chien saucisse miniature sont-ils les animaux du futur ? Beau livre à feuilleter paisiblement avec toute la famille, Anthologie illustrée des animaux de Ben Hoare parue aux Éditions Hurtubise rend compte de cette vie sauvage que l’on risque de perdre par nombrilisme.
Véritable lettre d’amour à la ville de Barcelone, la bande dessinée L’art de mourir de Philippe Berthet et Raule propose un polar sur le thème de la paternité qui possède la même qualité intemporelle qu’un film noir.
La grande vedette de la BD douce-amère La petite Russie, c’est la petite communauté de Guyenne, en Abitibi. Francis Desharnais y raconte comment son grand-père Marcel et sa grand-mère Antoinette se sont installés, dans les années 1940, dans cette colonie naissante, bien loin dans le nord, pour y fonder une famille – qui allait devenir nombreuse – et devenir agriculteurs. Une histoire vraie, donc, bien que romancée.
Andrée-Paule Mignot publiait, il y a quelques jours, son deuxième roman et son premier pour adultes ou peut-être davantage pour adolescentes. Sorti chez Hurtubise, il s’intitule Six femmes du monde.
En réédition chez Druide, après une première édition chez Leméac en 2002, paraissait récemment Jours de sable, un récit d’Hélène Dorion. Récipiendaire du Prix Anne-Hébert, cette narration personnelle et poétique nous fait remonter dans le temps avec l’auteure. Un retour en arrière qui nous ramène jusqu’à la découverte des mots par une enfant à la recherche de sens, en quête de connaissance.