Pour sa 41e saison, l’orchestre propose des oeuvres connues, mais aussi d’autres, plus audacieuses, qui font découvrir de la musique surprenante.
Auteur/autrice : Martin Prévost
Les artistes peuvent présenter leur démarche dans un format accessible qui n’est ni obscur, ni prétentieux.
L’auteur Luca Paladino s’intéresse à la question de la corruption dans le milieu de la construction, mais avec des résultats… cahoteux.
Télé-Québec donne dans le cours d’histoire nouveau genre avec cette websérie qui cherche à éduquer sur des périodes méconnues ou négligées de notre passé.
La compagnie circassienne présentait son 100e soir de spectacle à la ToHu.
L’auteur Dany Laferrière s’intéresse à l’omniprésent sujet du racisme envers les Noirs aux États-Unis.
Ce dimanche, en l’Église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End, l’ensemble Constantinople retrouvait enfin son public. L’occasion était double, car ce concert clôturait deux festivals à la fois: la 4e édition du Festival des musiciens du monde et la première édition du Festival La cité des Dames, créé par Suzie LeBlanc. Ce nouveau festival présente des concerts et des conversations mettant en valeur le rôle de l’impact des femmes sous un angle musical.
Il faut croire que la pandémie a donné envie aux musiciens garder le contact avec les mélomanes autrement qu’en les voyant dans une salle de spectacle. Après les musiciens de l’Orchestre baroque Arion dont on a pu visionner les capsules il y a quelques mois déjà, nous avons maintenant la possibilité de faire la connaissance d’une dizaine de professionnels de l’Orchestre symphonique de Montréal, dans une production de Savoir média. Cette série s’intitule bien simplement Donner la note.
Dix ans après sa parution en anglais sous le titre Erasing memory, le premier roman policier de l’auteur canadien Scott Thornley vient de paraître dans la collection Boréal Noir, sous la plume traductrice du Québécois Éric Fontaine.
Dans une Salle Bourgie remplie à pas plus du sixième de sa capacité, c’est à une rencontre plutôt intime qu’ont pu assister les spectateurs, dimanche après-midi, en compagnie du pianiste Charles Richard-Hamelin. Visiblement heureux de retrouver le public après plus d’un an de musique sans spectateurs, Richard-Hamelin était dans ses pantoufles puisqu’il jouait dans sa salle préférée et dans sa formule de prédilection, le récital solo. Et personne n’allait s’en plaindre.