Pour clôturer le programme officiel, Franz Schubert était à l’honneur avec le Trio pour piano, violon et violoncelle en mi bémol majeur, op. 100, D.929. On a longtemps attendu la venue du Trio Wanderer à Montréal et on espère qu’il reviendra bientôt.
Auteur/autrice : Martin Prévost
Eric Faye nomme une chose très triste: de nombreux lieux qu’il a visités seront bientôt modifiés à tout jamais, que ce soit à cause des changements climatiques, du capitalisme sauvage ou des régimes politiques totalitaires. Il ne se gène pas d’ailleurs pour écorcher au passage la Chine ou la Russie, entre autres, pour leurs politiques qu’il juge néfastes pour la sauvegarde de la culture et de l’environnement.
Si toutes les prestations musicales valaient la peine d’être entendues, certaines sortaient du lot. D’entrée de jeu, les pianistes Godin et McMahon ont réjoui nos oreilles par leur interprétation joyeuse et céleste de l’Introduction, variations et finale, pour piano à quatre mains, D 968a, de Franz Schubert.
Pour conclure ce bien beau programme, la Suite no 2 en si mineur, BWV 1067, a été l’occasion parfaite pour l’ensemble des musiciens de démontrer à quel point Bach savait adopter d’autres genres que celui de la musique allemande et pour nous faire entendre toute sa sonorité.
Si l’archet magique de Julie Triquet était bien au rendez-vous, mentionnons aussi la généreuse et bien sentie prestation de Jonathan Goldman, au bandonéon.
Avec ce roman, nous sommes devant un exercice de style qui comprend moult jeux de mots, rimes et répétitions. Au début, on sent là une certaine fraîcheur, mais qui s’estompe bien avant qu’on atteigne la fin des 300 et quelques pages de l’ouvrage.
S’agit-il d’une quête de soi à travers le miroir de l’autre, de l’émancipation d’êtres longtemps brimés, ou de la venue au monde d’un idéal rêvé?
Trop, c’est parfois pire que pas assez. Autant avions-nous recommandé au lecteur de se laisser emporter par Le malaimant¸ autant nous lui suggérons de passer tout droit avec ce nouvel opus.
L’OSM a joué Mozart comme on joue habituellement Beethoven et, croyez-moi, c’est un compliment. C’était tout à fait rafraîchissant d’être surpris par des forte joués fortissimo sans pour autant que le public soit assourdi.
Pour sa troisième génération de thermostat intelligent, Mysa propose un appareil plus petit, ce qui est un avantage, mais l’application mobile semble entraîner quelques problèmes de connexion avec un téléphone intelligent.