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Les chevaliers de la Table ronde munis d’épées devenues des sabres laser. Merlin l’enchanteur déguisé en personnage outrun avec des verres fumés et des espadrilles, le tout éclairé par des néons à la nuit tombante. Un album qui mélange sonorités électroniques et monde fantastique aux créatures magiques. Que demander de plus?

Il n’aura fallu que quelques mesures de la première pièce du disque pour que les émotions déferlent, emportant presque tout sur leur passage. Ce disque, c’est Landing, premier opus de la chanteuse BEYRIES, de son vrai nom Amélie Beyries, femme de 37 ans qui a entre autres tâté des relations publiques avant de se lancer en musique.

L’OSM poursuit ces jours-ci un marathon de quatre concerts en trois jours sur le thème de la musique minimaliste dans lequel des compositeurs de ce courant musical sont jumelés à une l’un des symphonies de Haydn. Après Ravel, joué mardi soir, c’était le tour du compositeur Philip Glass ce mercredi soir.

À l’aide d’une expertise vocale atypique, Sébastien Croteau fait du doublage pour les compagnies de jeux vidéo depuis 11 ans. L’ex-chanteur de Death metal a pratiqué, entre autres, les chants gutturaux tibétains, mongols et inuits.

Christmas music. Some love it; others dread it. Step into any place remotely connected with moneymaking at this time of year and your ears will be assailed by a constant onslaught of holiday melodies: treacly, emotionally heavy-handed, or worse… dull and routine.

Cinéaste de la défaite et de la condamnation, Andrew Dominik continue de surprendre en imposant son regard unique dans son observation de l’univers singulier de Nick Cave. La création de son plus récent album est ainsi immortalisée dans un documentaire aussi magnifique que bouleversant. Une chance unique de l’attraper sur grand écran alors que le Cinéma du Parc le ramène exclusivement pour une semaine.

Vendredi dernier, à la Salle Bourgie du Musée des Beaux-Arts de Montréal, avait lieu le concert d’ouverture de la 10e édition du Festival Bach de Montréal. Était servi, en ouverture du festival, un Sergeï Babayan qui aurait très bien pu faire office de plat de résistance tant il a ébloui son public en étalant une palette de nuances plus large encore que ce qu’on aurait pu croire possible avec seulement un piano.

Il y a de ces instants où l’on se dit que la musique transcende tout le reste; où l’interprétation d’un morceau est si parfaite, si juste, que l’on se prend à penser que la musique n’est plus une invention humaine, mais plutôt quelque chose d’intemporel, qui a toujours existé. Et mercredi soir, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) a offert l’un de ces moments.

Il serait faux de prétendre que les groupes Daft Punk et Justice ne se ressemblent pas. Tous deux formés de Français issus du même courant musical (la French Touch), tous deux de solides représentants du monde de la musique électronique, et tous deux embarqués dans un retour progressif aux sources de leur art. Quant à savoir s’il s’agit d’un bon choix, bien malin sera celui qui saura trancher.