Deux par deux rassemblés est un excellent exemple d’une sorte de « démocratisation » de l’art, d’une façon de sortir les visiteurs d’une certaine zone de confort. On ne saurait trop recommander d’aller y faire un tour, d’autant plus que certaines oeuvres feront l’objet d’une rotation d’ici le 5 octobre, date de fin de l’exposition. Une autre raison, assurément, de ne pas craindre la récidive.
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On ressortira de Vice, vertu, désir, folie en se disant qu’on vient certainement de naviguer à travers un univers artistique exceptionnel, un aperçu de l’opulence et du faste de la société européenne, au cours de trois siècles de profondes transformations de l’Occident. Une exposition à voir. Impérativement.
Basquiat aurait-il apprécié cette musique? Il n’y a pas à en douter. D’ailleurs, Basquiat aimait toutes les musiques, du be-bop au classique Beethoven, du hip-hop à Ravel, du jazz à la musique aléatoire de John Cage…
Lumière: voilà probablement le mot qui vient d’abord en tête en visitant Les impermanents, l’exposition de l’artiste visuel Yann Pocreau présentée au Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) jusqu’au 1er août. Lumière dans une exploration de l’impact de ces photons sur nos rétines, d’une façon ou d’une autre.
Il y a la crise de la COVID-19, oui, mais aussi la crise environnementale, cette relation amour-haine entre l’humanité et la planète sur laquelle elle prospère. Et pour ne pas oublier l’existence de ces problèmes graves qui nous menacent toujours, mais aussi pour étayer les impacts mutuels entre notre civilisation et notre monde, le Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) présente Écologies, une exposition qui sert à la fois de manifeste et de vitrine des beautés qui nous entourent.
C’est avec émotion, jeudi soir dernier, que Madame Isolde Lagacé, directrice générale de la Salle Bourgie, accueillait les mélomanes enfin de retour dans la très belle salle du Musée de Beaux-Arts de Montréal. Mesures sanitaires obligent, le public était très dispersé, mais il était surtout très attentif.
Il aura fallu attendre plusieurs mois, mais il sera finalement possible de s’émerveiller devant les tableaux de maîtres de la période postimpressionniste dans les galeries du Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM). Dès le 4 juillet, le public pourra découvrir Paris au temps du postimpressionnisme – Signac et les Indépendants, une exposition qui sera présentée jusqu’au 15 novembre.
Visiter les momies au Musée des Beaux-Arts de Montréal, dans le cadre de l’exposition Momies égyptiennes – Passé retrouvé, mystères dévoilés, est une belle expérience culturelle pour sortir du confinement.
Le 3 mai dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux arts de Montréal, l’Orchestre baroque Arion clôturait sa 38e saison montréalaise. Intitulé Musica notturna, le programme incluait des oeuvres créées sur un horizon de plus d’une centaine d’années, de Biber à Mozart, en passant par Vivaldi, Barsanti et Boccherini. Enrico Onofri était le soliste et chef invité. Armé de son violon, il a encore une fois mené à bon port l’orchestre qui commence à bien le connaître, puisque c’est sa quatrième collaboration avec Arion.
Le Musée des beaux-arts de Montréal présente, jusqu’à la fin mai, une exposition particulière: du dessin et des toiles de nu, certes, mais – surtout! – des nus réalisés ici, au fil des courants artistiques, en bravant bien souvent la censure et les idées conservatrices des différentes époques.