Tout n’est pas mauvais, dans Liberté, et on appréciera l’étrange mélange de la Terreur et de cette autre terreur, celle venue des tréfonds de notre galaxie. Dommage, cependant, que l’exécution de la chose laisse franchement à désirer. Peut-être y aura-t-il encore des correctifs?
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Offert à un peu moins de 300 $, le clavier mécanique de Kensington souffre de très légers défauts, mais s’approche très, très, très près de la perfection pour toute personne qui veut améliorer son expérience de frappe, mais qui ne refuse pas, non plus, de lancer une partie d’un jeu de tir endiablé, histoire d’utiliser son clavier à son plein potentiel.
Krzyzacy – Knights of the Cross offre un système de jeu vraiment excellent, dans un emballage au style magnifique. Malgré tout, sa traduction non complète, peu soignée et dans un ordre très peu compréhensible l’empêche de s’élever à un niveau recommendable, et ses bogues majeurs finissent d’enfoncer le clou.
En raison de son approche plus centrée sur l’action et davantage accessible au grand public, ce nouveau volet risque de séduire ceux et celles qui n’avaient jamais été particulièrement attirés par la franchise.
À Pixels et préjugés, Hugo Prévost, Louis-Gabriel et Alex discutent des bons et des moins bons côtés de ce hack’n’slash, du contenu de la première saison, de l’infâme (?) mise à jour, et bien plus.
Les auteurs du rapport blâment notamment les lobbyistes de l’industrie du jeu vidéo, qui s’opposent vertement à des solutions comme l’émulation pour préserver des titres plus anciens.
Layers of Fear est un véritable classique du genre, et cette nouvelle mouture apporte juste assez de nouveauté pour que même ceux et celles ayant joué aux deux titres originaux de la franchise aient de bonnes raisons d’y plonger à nouveau. Baissez les lumières, montez le son, et préparez-vous à vivre une expérience digne des meilleurs films d’horreur.
L’horreur a trouvé le médium parfait avec les jeux vidéo qui, en raison de leur interactivité, s’avèrent bien plus terrifiants que n’importe quel film, et si vous aimez les sueurs froides et l’épouvante, vous serez comblé avec Amnesia: The Bunker, un titre qui n’est définitivement pas pour les cœurs sensibles.
La pauvreté scénaristique de Trepang2 n’enlève rien à la grandiloquence de ses séquences de combat, qui sont d’autant plus impressionnantes qu’il s’agit d’un jeu indépendant, loin des productions AAA. Mais il faut toutefois être au fait de ce que l’on achète; que les amateurs d’histoires bien ficelées passent leur chemin.
Il est vraiment étonnant que les propriétaires de la franchise Lord of the Rings aient autorisé la sortie d’une expérience de si piètre qualité, qui se vend de surcroît 80 dollars. Il s’agit d’un des pires jeux parus cette année, qui décevra même les inconditionnels de Tolkien.