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Bien franchement, No Creeps Were Harmed TD est probablement l’une des déclinaisons les plus originales des dernières années, dans le genre relativement niché des jeu de tower defense. Oui, il y a aura des moments de frustration, alors qu’il sera nécessaire de se familiariser avec les mouvements et les habiletés spécifiques des différents ennemis, mais cela fait partie de l’apprentissage nécessaire pour triompher des méchants. Et bon, comme le dit le titre, aucun ennemi n’a été blessé, non? 

Si l’on joue déjà à des jeux qui se transposent bien sur un appareil portatif, alors la puissance, la versatilité, l’autonomie et la qualité de fabrication du ROG Ally X en feront un choix idéal. Autrement, les 1100 $ réclamés pour acquérir cet engin auront malheureusement des allures de dépense superflue, même en tenant compte de toutes les prouesses techniques offertes.

Si vous cherchez de l’action et de l’adrénaline, Indika n’est clairement pas pour vous, mais si vous appréciez les expériences qui n’ont pas peur de sortir des sentiers battus, vous aimerez ce titre qui, s’il n’est pas le meilleur jeu de l’année, est sans conteste le plus original.

Que ce soit en VR ou sur un écran plat, Riven demeure un monument du genre. Les îles fracturées du Cinquième âge forment un tout cohérent, une société brisée par la poigne écrasante du colonialisme et de la tyrannie d’un puissant. Contrairement aux îles désincarnées de Myst, on a l’impression de visiter un pays habité, et de changer pour le mieux la vie des gens qui y résident.

On aurait souhaité sauter à pieds joints dans un jeu de gestion suffisamment différent pour alimenter notre passion pour de bien belles usines automatisées qui fabriquent de rutilants objets; avec The Crust, on voit l’ébauche de quelque chose de bien, mais le jeu force carrément les joueurs à emprunter une seule et même voie, en offrant au passage une difficulté ridiculement élevée. Attendons de voir la suite avant de prendre notre billet pour la Lune.

Il n’y a rien de mal à tenter sa chance et souhaiter donner vie à sa vision, lorsque vient le temps de créer un jeu vidéo. Mais One Way Road: Firehunt est si… beige, si ordinaire, si banal, si oubliable. Pas mauvais à un point tel que l’on finirait par s’en rappeler, ne serait-ce que pour le maudire. Juste… ennuyeux. Mal ficelé. Bref, même s’il est gratuit, passe votre tour.

Toutes les belles fioritures de Beat Hazard 3 semblent avoir encore besoin d’amour, même si le jeu a déjà passé pas mal de temps en accès anticipé. Il reste bien sûr le jeu en solo, mais dans ce cas, si l’on possède un précédent volet de la trilogie, l’achat de ce troisième titre de la série peut faire l’objet d’un débat.

Le jeu n’a rien de transcendant, on s’entend, et il faudra répéter les mêmes niveaux à de nombreuses reprises pour espérer disposer de compétences suffisamment développées afin d’espérer l’emporter. Mais ces niveaux sont assez diversifiés pour rendre la chose agréable, surtout si l’on se dit qu’on est là pour se vider le cerveau, pas pour construire un empire, ou résoudre des problèmes de logistique.

Je comprends qu’il s’agit d’une production d’un petit développeur indépendant, mais ça n’excuse pas le manque de finition générale de Morbid: The Lords of Ire, qui aurait mérité d’être encore largement peaufiné avant d’être lancé. Avec tous les « souls-like » disponibles en ce moment, il y a malheureusement très peu de raisons de se procurer celui-ci.

Sympathique comme tout, mais aussi avec un niveau croissant de difficulté qui forcera les conducteurs du dimanche en nous à apprendre à maîtriser nos réflexes, manette à la main, NeoSprint est un divertissement fort agréable. Vaut-il plus d’une trentaine de dollars? On peut en douter. Mais avec une vente, il s’agira certainement d’un titre à ajouter à sa collection.