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Les habitants actuels de l’île de Flores, en Indonésie, ne partagent pas de gènes avec les « Hobbits » ce mystérieux groupe d’humains de petite taille qui a vécu sur cette île il y a 60 000 ans. Et pourtant, eux aussi semblent avoir une tendance, à long terme, à diminuer de taille. Que se passe-t-il sur cette île?

La dernière tuile qui tombe sur la tête de CRISPR fait plus mal que les précédentes: non seulement cette technologie peut-elle endommager les gènes qu’elle tente de réparer, mais les dommages pourraient apparemment être plus lourds que prévu.

On savait déjà que les sources de la schizophrénie étaient en partie génétiques. Et une hypothèse veut depuis longtemps que des complications pendant la grossesse multiplient par deux le risque de schizophrénie chez le futur enfant. Le lien entre ces deux faits pourrait se trouver dans le placenta.

C’est une histoire qu’on aurait pu imaginer dans la télésérie policière CSI: en achetant sur Internet un simple « kit génétique » coûtant environ 300$, « des criminels pourraient manipuler leur propre ADN pour éviter leur détection par les bases de données de la police », selon le quotidien britannique Daily Mail.

Il y a 650 millions d’années, vivait dans les océans une petite bestiole qui fut peut-être l’ancêtre de tous les animaux d’aujourd’hui, nous y compris. Et cette bestiole serait venue avec quelque chose d’étonnamment durable: jusqu’à 55% de nos gènes étaient peut-être déjà présents dans ce tout premier animal.

Les virus qui nous affectent aujourd’hui nous accompagnent depuis très longtemps. Une équipe de chercheurs chinois et australiens démontre que certains ont évolué avec nos ancêtres depuis des centaines de millions d’années.

En observant des gènes « fantômes » dans certaines populations d’Afrique de l’Ouest, des chercheurs de l’Université de Californie à Los Angeles ont ajouté au débat sur les rencontres entre nos ancêtres Homo sapiens et d’autres espèces archaïques et disparues, telles l’homme de Néandertal.

La mort de vieillesse lundi dernier de Sudan, dernier mâle de son espèce, a permis au public de mettre un visage sur une notion d’ordinaire abstraite: l’extinction. Seules deux femelles de la sous-espèce connue sous le nom de « rhinocéros blanc du nord » sont encore en vie. Et l’hypothèse d’un sauvetage par voie d’insémination artificielle et de transfert d’embryon reste très improbable.