Voilà probablement près d’un mois que le lien vers un nouveau disque de musique traîne quelque part dans la boîte de réception de ce journaliste. Et cela fait aussi probablement près d’un mois que l’album en question résiste à toutes les approches habituelles pour en faire la critique.
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Ian Kelly a habitué son public à des chansons à saveur acoustique, une mélodie de guitare sèche et une voix remplie d’émotion. Reprenez ces éléments, ajoutez-y des composantes électroniques remixées et vous avez le produit final qu’est Superfolk Remixes.
Décidément, les belles découvertes musicales se multiplient; après BEYRIES, magnifique disque québécois, voilà qu’apparaît Infinite Worlds, de l’artiste rock indie Vagabon. Un tour de force extrêmement impressionnant qui permet de faire connaissance avec une artiste complexe, audacieuse et talentueuse.
Ah, les Dandy Warhols ont sorti un nouvel album? Et en 2016, qui plus est? Il y a de cela bien longtemps que la formation américaine ne fait plus tourner les têtes. Du moins, pas la tête de ce journaliste. Les albums se ressemblent et soulèvent peu ou pas les passions. Et ce Distortland, donc? Rien d’excitant, mais peut-être le début d’un repositionnement stylistique intéressant.
Les chevaliers de la Table ronde munis d’épées devenues des sabres laser. Merlin l’enchanteur déguisé en personnage outrun avec des verres fumés et des espadrilles, le tout éclairé par des néons à la nuit tombante. Un album qui mélange sonorités électroniques et monde fantastique aux créatures magiques. Que demander de plus?
Il n’aura fallu que quelques mesures de la première pièce du disque pour que les émotions déferlent, emportant presque tout sur leur passage. Ce disque, c’est Landing, premier opus de la chanteuse BEYRIES, de son vrai nom Amélie Beyries, femme de 37 ans qui a entre autres tâté des relations publiques avant de se lancer en musique.
Il serait faux de prétendre que les groupes Daft Punk et Justice ne se ressemblent pas. Tous deux formés de Français issus du même courant musical (la French Touch), tous deux de solides représentants du monde de la musique électronique, et tous deux embarqués dans un retour progressif aux sources de leur art. Quant à savoir s’il s’agit d’un bon choix, bien malin sera celui qui saura trancher.
Ils sont loups, ils sont libres et ils ne sont pas prêts d’abdiquer à aucune formule que ce soit, que le succès soit oui ou non en jeu. WRONG c’est ça et bien plus, mais c’est surtout le quatrième album du groupe montréalais We Are Wolves.
Difficile d’ignorer le lancement très attendu de l’album Scavenger de Kroy vendredi dernier à la galerie Artgang de la rue St-Hubert. Le projet solo de Camille Poliquin, alias moitié du duo Milk & Bone, n’avait pas besoin de présentation pour enflammer les attentes du petit gratin artistique montréalais.
Difficile de trouver, dans notre paysage musical, un groupe plus tendre et délicat que les toujours invitants Avec pas d’casque. Entre les soirs de pluie et les journées enneigées, sans oublier les nuitées au coin du feu et les siestes à l’ombre, la musique de ce groupe folk qui se savoure constamment comme la plus belle des caresses n’a pas besoin d’excuses pour nous enchanter les oreilles à tout coup. Effets spéciaux, leur plus récente offrande, en est encore une douce représentation. « Le temps nous égratigne de toute façon ».