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La version numérique du disque traîne depuis un bon mois et demie dans l’ordinateur de ce journaliste, mais le problème demeure. Et alors que l’album lui-même sort officiellement en début de semaine prochaine, bien heureux celui ou celle qui arrive à tirer quelque chose de ce Digital Empire, du groupe Elevn.

Il y a de ces disques qui transportent, qui caressent, qui font voyager dans un cocon éthéré. Le trio Wilsen, en direct de Brooklyn, offre un tel cadeau avec son premier album I Go Missing In My Sleep, qui aboutira vendredi 28 avril dans les bacs des disquaires.

Voilà probablement près d’un mois que le lien vers un nouveau disque de musique traîne quelque part dans la boîte de réception de ce journaliste. Et cela fait aussi probablement près d’un mois que l’album en question résiste à toutes les approches habituelles pour en faire la critique.

Ian Kelly a habitué son public à des chansons à saveur acoustique, une mélodie de guitare sèche et une voix remplie d’émotion. Reprenez ces éléments, ajoutez-y des composantes électroniques remixées et vous avez le produit final qu’est Superfolk Remixes.

Décidément, les belles découvertes musicales se multiplient; après BEYRIES, magnifique disque québécois, voilà qu’apparaît Infinite Worlds, de l’artiste rock indie Vagabon. Un tour de force extrêmement impressionnant qui permet de faire connaissance avec une artiste complexe, audacieuse et talentueuse.

Ah, les Dandy Warhols ont sorti un nouvel album? Et en 2016, qui plus est? Il y a de cela bien longtemps que la formation américaine ne fait plus tourner les têtes. Du moins, pas la tête de ce journaliste. Les albums se ressemblent et soulèvent peu ou pas les passions. Et ce Distortland, donc? Rien d’excitant, mais peut-être le début d’un repositionnement stylistique intéressant.

Les chevaliers de la Table ronde munis d’épées devenues des sabres laser. Merlin l’enchanteur déguisé en personnage outrun avec des verres fumés et des espadrilles, le tout éclairé par des néons à la nuit tombante. Un album qui mélange sonorités électroniques et monde fantastique aux créatures magiques. Que demander de plus?

Il n’aura fallu que quelques mesures de la première pièce du disque pour que les émotions déferlent, emportant presque tout sur leur passage. Ce disque, c’est Landing, premier opus de la chanteuse BEYRIES, de son vrai nom Amélie Beyries, femme de 37 ans qui a entre autres tâté des relations publiques avant de se lancer en musique.

Il serait faux de prétendre que les groupes Daft Punk et Justice ne se ressemblent pas. Tous deux formés de Français issus du même courant musical (la French Touch), tous deux de solides représentants du monde de la musique électronique, et tous deux embarqués dans un retour progressif aux sources de leur art. Quant à savoir s’il s’agit d’un bon choix, bien malin sera celui qui saura trancher.

Ils sont loups, ils sont libres et ils ne sont pas prêts d’abdiquer à aucune formule que ce soit, que le succès soit oui ou non en jeu. WRONG c’est ça et bien plus, mais c’est surtout le quatrième album du groupe montréalais We Are Wolves.