Direct, efficace, juste assez bien ficelé; Moments, qui sortira au début d’août, est un concentré franchement sympathique de classic rock comme il ne s’en fait presque plus. Attention, ça part!
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Puisant dans son vaste répertoire, des premiers tubes, dont Ma gonzesse (1979), à Manu (1981) et Morgane de toi (1983), Renaud avait l’adhésion absolue de son public de tout âge à qui il a généreusement tendu le micro pour créer des chœurs infinis.
Il n’y aura sans doute plus jamais de mégaclaque comme a pu l’être Cross, le premier album qui a tout cassé – ou encore ce Phantom Part 2 démentiel, sur A Cross The Universe – et permis à Justice de s’imposer dans la foulée de Daft Punk, qui était déjà sur le départ. Mais on se prend malgré tout à espérer que les prochains disques seront non seulement proposés plus rapidement, mais auront aussi davantage de coeur au ventre qu’Hyperdrama.
Avec ses touches de parlé sans détour, un joual naturel par les dialogues, l’écrivain n’affiche aucune prétention et se berce à l’humilité. Ce qui lui importe : que les mots viennent du cœur, librement et qu’on le suive.
Ce que l’on tente de dire, peut-être maladroitement, c’est que ce nouvel album est très, très bon. Clairement, Brian Jonestown Massacre n’a rien perdu de sa superbe, de son mordant.
En résumé, un album bien conçu, riche et varié. On ne pourra certainement pas reprocher à The Grunions de faire toujours la même chanson.
Dans sa quête tradi-moderne, le griot Sissokho véhicule un message fort pour la cohésion : nous sommes tous pareils, des êtres humains.
Tour de force musical qui gagne en puissance à chaque écoute, PetroDragonic Apocalypse prouve que King Gizzard and the Lizard Wizard continue de gagner en maturité et en capacités mélodiques. Un album coup-de-poing qui appuie bien fort là où ça fait mal.
Il aurait été possible de classer cet album avec toutes les autres propositions pop provenant de la sphère musicale québécoise – et elles sont nombreuses. Mais agir de la sorte aurait été une grave erreur: ce nouveau disque de Viviane Audet est non seulement douloureusement beau, il est incontournable.
Ce disque permet de constater qu’il existe bel et bien une façon (un peu) différente de raconter une grande histoire, le tout sur fond de synthétiseurs, de néons et de combats contre les puissances maléfiques peuplant l’univers.