Browsing: danse

La Batsheva Dance Company est venue présenter au public montréalais Last Work, oeuvre du chorégraphe résident et directeur artistique de la compagnie, Ohad Naharin. Le public montréalais a pu se familiariser avec le travail du célèbre chorégraphe et de la compagnie israélienne qui en est à sa troisième visite depuis 2004.

La La Land ne transcende peut-être pas les références auxquelles il aspire, mais cela ne l’empêche pas d’enchanter de son début jusqu’à sa toute fin, transformant rapidement ses beaux délires en l’offrande la plus magique de toute l’année cinématographique.

Les fans de la compagnie Virginie Brunelle attendaient avec impatience À la douleur que j’ai, sa plus récente création chorégraphique. Une série de teasers, dévoilés un à un sur la page Facebook de la compagnie pour nous faire languir depuis plus d’un mois, a été créée en collaboration avec le vidéaste Robin P. Gould.

Jeune compagnie montréalaise créée en 2012 par Emmanuelle Lê Phan, canadienne et Elon Höglund, suédois, Tentacle Tribe présente sa nouvelle création dans le cadre de Danse Danse à la Place des Arts.

Le spectacle Corps avides, ce sont trois tableaux sous une même bannière, trois numéros commissariés par Dena Davida (cofondatrice de Tangente) qui ont pour trame de fond l’exploration des tensions physiques et psychiques.

La dernière visite du Nederlands Dans Theater à Montréal remonte à 1994, la compagnie se classe au rang des plus grandes compagnies de danse au monde et la chorégraphe Crystal Pite, adulée des Montréalais signe une des œuvres présentées; dire que la compagnie était attendue de pied ferme à la Place des arts en ce début novembre serait une affirmation faible.

De longues années de sauts de chat et autres arabesques renforceraient les connexions entre certaines régions cérébrales et entre nos deux hémisphères, ce qui serait bénéfique. La danse ou la formation musicale modifient la structure de la substance blanche du cerveau, assure une récente étude du Laboratoire international de recherche sur le cerveau, la musique et le son.

Créée en 2014, Hunter est la première œuvre solo de la chorégraphe et interprète Meg Stuart. Elle est présentée jusqu’au 15 octobre à l’Usine C, en coprésentation avec l’Agora de la danse. Dans cette œuvre produite par sa compagnie, Damaged Goods, Meg Stuart explore les archives conservées par sa mémoire physique. Elle nous offre un portrait à la fois personnel et historique d’une artiste dont le parcours a été influencé par le courant de danse postmoderne américain.

Jusqu’au 15 octobre, Danse danse reçoit en grande première le chorégraphe new-yorkais Bryan Arias, avec sa compagnie du même nom pour y présenter A Rather Lovely Thing, sa toute dernière création présentée pour la première fois en juillet 2016.