Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Science»Danser modèle le cerveau

    Danser modèle le cerveau

    0
    Par Agence Science-Presse le 19 octobre 2016 Science

    Agence Science-Presse

    De longues années de sauts de chat et autres arabesques renforceraient les connexions entre certaines régions cérébrales et entre nos deux hémisphères, ce qui serait bénéfique. La danse ou la formation musicale modifient la structure de la substance blanche du cerveau, assure une récente étude du Laboratoire international de recherche sur le cerveau, la musique et le son.

    Ces modifications, observées par les chercheurs, ne sont pas les mêmes chez les danseurs et chez les musiciens professionnels. « Les danseurs développent la connectivité globale des zones sensorielles et motrices tandis que les musiciens renforcent plutôt certaines de ces aires spécifiques », annonce la doctorante à l’Université Concordia et principale auteure de cette étude, Chiara Giacosa.

    Même si les deux baignent dans un riche univers musical, les musiciens se concentrent sur certaines parties de leur corps, comme la bouche ou les mains, pour produire des pièces musicales. Les danseurs sollicitent plutôt l’intégralité de leur corps pour réaliser d’amples mouvements de jambes ou de bras en suivant la musique.

    En observant par IRM la diffusion des molécules d’eau de la matière cervicale chez différents groupes de sujets (musiciens, danseurs et contrôle), les chercheurs ont remarqué de grandes différences d’activité au sein de la structure des réseaux de fibres nerveuses.

    Si la diffusion augmente chez les deux groupes au contact de la musique, les chercheurs constatent une meilleure cohérence de l’organisation des fibres et une meilleure connectivité entre les deux hémisphères du cerveau chez les danseurs.

    Et cela ne se produit pas seulement avec les jetés du ballet classique, mais quel que soit le style de danse pratiqué. « Cette grande richesse de direction des fibres apporte des bénéfices, tels qu’une meilleure synchronisation des mouvements et une rapidité d’exécution des gestes », relève la jeune chercheuse.

    Et bien, dansez maintenant

    À travers le jeu vidéo Dance Central, sur XBox One, les danseurs ont démontré aussi une plus grande habileté motrice en réussissant à suivre des rythmes et des musiques auxquels ils étaient peu habitués. « Nous voulions observer leur capacité à exécuter leurs mouvements rapidement en synchronisation avec le jeu — un résultat des changements produits dans leur cerveau », explique Chiara Giacosa.

    Au terme de toutes ces longues années d’apprentissage, les danseurs possèdent un meilleur contrôle de leurs mouvements dont certains malades, tels que ceux atteints de Parkinson ou de désordres moteurs, pourraient tirer avantage lors de séances de danse-thérapie.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    21 septembre 2023

    Vivre dans l’espace, une utopie?

    19 septembre 2023

    Appel à la communauté scientifique pour atteindre les objectifs de développement durable

    17 septembre 2023

    Quand les chiens penchent la tête

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Montréal complètement cirque
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    22 septembre 2023

    La violence kawaii d’AK-xolotl

    22 septembre 2023

    Providencia, un sans-faute théâtral aux Écuries

    22 septembre 2023

    Plus Donald Trump ment, plus les républicains le croient

    22 septembre 2023

    L’Érotisme de vivre : Catherine Ringer à fleur de chair

    22 septembre 2023

    Sur Instagram, les contenus sexualisés affectent négativement l’estime de soi des jeunes femmes

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.