Table 19 possède à priori tout ce qu’il faut pour être un petit film indie autant charmant que gagnant. Pourtant, n’en déplaise à sa tendresse infinie propulsée par son excellente distribution, quelque chose cloche dans ce film qui finit par sonner faux.
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Présenté au théâtre La Chapelle jusqu’au 3 mars, le spectacle IDIOT est le second d’une trilogie inspirée par le musicien américain Iggy Pop dont le premier album sorti en 1977 avait pour titre The Idiot. Créées par la chorégraphe Helen Simard en collaboration avec son équipe d’interprètes, ces pièces sont des hybrides entre concert rock et spectacle chorégraphique, des hommages à l’énergie brute et assumée du rockeur.
Avant de se faire ruiner à petit feu par un univers cinématographique de plus en plus confus et des films de plus en plus déplorables, DC Comics a eu son Watchmen, et Marvel est bien passé à deux doigts d’avoir son Logan. Ce, avant de retomber dans la majorité des pièges qui empêchent habituellement les films de X-Men de se sortir de ce qui les confinent dans la catégorie des divertissements à grand déploiement, sans plus. Néanmoins, pour ce qu’il vaut, Logan a pratiquement tout d’un beau petit miracle et livre sans mal la marchandise.
Sans nécessairement se défaire des tics habituels des films portant sur les origines d’un superhéros tout comme de ceux précis à la recette Disney Marvel, disons que Doctor Strange est possiblement la meilleure chose qui pouvait arriver au besoin de renouveau du Marvel Cinematic Universe, suite à l’avenir incertain des Avengers tels qu’on les connaît aujourd’hui.
Attentat, pièce coproduite par les Théâtres [mo] et Fol Espoir et mise en scène par Gabrielle et Véronique Côté, avait fait grand bruit lors de son passage au Théâtre Périscope, à Québec, alors que se produisaient les terribles événements terroristes de Ste-Foy. Voilà que le spectacle revient sur les planches du Quat’Sous, à Montréal, d’où il avait essaimé.
Si le timing n’était pas à son plus fort lors du grand couronnement de Moonlight pendant la fin historique de la plus récente cérémonie des Oscars, dimanche soir dernier, disons que sa sortie DVD est plus que jamais une occasion en or de rattraper l’une des grandes surprises cinématographiques de l’an dernier.
Jérusalem, terre de religions, mais aussi terre de mystères et de tensions. En débarquant dans cette ville plusieurs fois millénaires, la réalisatrice Danae Elon se lançait dans un périple géo-politico-religieux pour lever le voile sur l’étrange histoire du patriarche en «exil» de l’Église orthodoxe grecque. Le tout raconté à un public des Rendez-vous du cinéma québécois complètement fasciné.
Les adaptations de bandes dessinées au grand écran ne datent pas d’hier; avant Marvel et sa machine à imprimer de l’argent en sortant ce qui pourrait passer pour des copies remâchées du même film, il y a eu Dick Tracy, Spawn et bien d’autres tentatives, mais, surtout, il y a eu Blade.
À deux pas du désastre se trouve la comédie française Radin!, qui aurait beaucoup gagné à investir davantage d’assurance dans ses jolis élans d’absurdité et de folie. Pour les admirateurs de Dany Boon, la sortie DVD fait tout de même passer une sympathique soirée.
La TOHU fait sa première incursion dans le monde numérique en collaboration avec le festival Chromatic par la présentation du 9 février au 12 mars de l’exposition Human, I am a lack of confidence par l’artiste Kenny Wong originaire de Hong Kong. Une expérimentation nous sensibilisant davantage à l’espace qu’aux problèmes éthiques liés à la technologie.