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L’Agora de la danse présente, du 29 mars au 1er avril, un solo troublant intitulé When the ice melts, will we drink the water? Chorégraphiée par Daina Ashbee, à peine âgée de 26 ans, la pièce s’est mérité le titre de meilleure œuvre chorégraphique de l’année 2016 aux Prix de la danse de Montréal. Cette fois-ci, elle est présentée au sous-sol du nouvel édifice Wilder toujours en construction, dans la salle bleue aussi appelée Espace Florence-Junca- Adenot.

La demande est tombée par courriel: voulait-on, chez Pieuvre.ca, critiquer un livre de fantasy se déroulant dans un monde peuplé de démons, de créatures mystérieuses et de pouvoirs magiques? N’écoutant que notre courage (et notre coeur d’adolescent), nous avons plongé dans The Bones of the Past, de Craig A. Munro.

Du conflit colombien à la bohème montréalaise, l’auteur Edwin Bermudez s’inspire de son vécu dans son recueil de nouvelles Contes héroïques paru chez Mon Petit Éditeur en 2017. Le lancement du livre aura lieu le 2 avril à l’EtOH Brasserie, dans le quartier Villeray, à 17 heures.

L’an de grâce 1936. L’Allemagne nazie se complaît dans sa splendeur fasciste en tenant les Jeux olympiques d’été. L’occasion, pour la dictature à la croix gammée, d’impressionner la planète. Et grâce au film de Jérôme Prieur, présenté dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA), l’occasion est donnée au public de 2017 de revivre cet événement à la fois spectaculaire et lugubre.

Du monument littéraire qu’était – et qu’est encore – l’auteure anglaise Agatha Christie, on se souvient surtout des classiques. Y compris du Meurtre de Roger Ackroyd, thriller policier à la surprise finale plus qu’originale. Mais qu’en est-il vraiment de cette oeuvre magistrale? Agatha Christie contre Hercule Poirot: qui a tué Roger Ackroyd?, présenté au Festival international du film sur l’art (FIFA), s’attaque au monstre sacré de fort belle manière.

Jeudi soir dernier, à la Maison de la culture Maisonneuve, la compagnie musicale La Nef présentait Chants du Pays d’Oc. Sous la férule de Pierre-Alexandre St-Yves, c’est à un voyage de tous les temps que les quatre musiciens nous ont conviés.

En lisant le programme de la pièce de théâtre Le Lac aux deux falaises, où le metteur en scène Louis-Dominique Lavigne décrit une région lointaine où opère « une magie rugueuse comme le roc », je me suis instantanément imaginé une version acadienne des contes villageois de Fred Pellerin.

Les Power Rangers ont toujours été synonymes de créativité, de folies, de liberté et, surtout, d’aventures tordues, peu importe les limites de notre logique, ou du quelque peu de réalisme qu’il reste au genre fantastique ou à la science-fiction. Les choses ont bien changé, puisque cette nouvelle version de la populaire franchise, adaptée visiblement pour les jeunes adultes d’aujourd’hui, est tellement formatée et torturée qu’on se demande longtemps où diable est passé le plaisir d’antan.