Browsing: biologie

Des scientifiques du Francis Crick Institute ont découvert d’importantes similarités structurelles entre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la COVID-19, et un coronavirus qui infecte les pangolins, ce qui porte à croire que ledit virus pourrait infecter les humains.

Un poisson d’eau douce australien vient de battre le record du plus gros génome connu: 43 milliards de paires de base, ce qui est 30% plus gros que le détenteur du  précédent record, et 14 fois plus gros que le génome humain.

Des ingénieurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’Imperial College de Londres ont mis au point une nouvelle méthode pour produire des matériaux résistants et fonctionnels en utilisant un mélange de bactéries et de levure similaire aux « mères de kombucha » utilisées pour produire du thé fermenté.

Un panda qui s’enduit de merde de cheval: est-il malade, a-t-il perdu son odorat? Des scientifiques chinois affirment que non… et il leur a fallu 12 ans pour proposer une explication.

Au tout début de la pandémie, le coronavirus semble bel et bien avoir subi une mutation qui l’a rendu plus contagieux et lui a donc permis de se répandre plus vite. Cette mutation ne serait toutefois pas responsable des complications médicales et n’aurait pas entraîné un taux de décès plus élevé.

L’oiseau préhistorique, l’Archaeopteryx, ce dinosaure à plumes muni d’ailes, n’a qu’à bien se tenir. Il aurait au moins deux concurrents. « Il n’y aurait pas un ancêtre unique des oiseaux, mais plusieurs ramifications de l’arbre de l’évolution, incluant de nouvelles espèces proches des oiseaux », présente le paléontologue de l’Université McGill, Hans Larsson.

On a souvent fait état de rencontres entre nos ancêtres Homo sapiens et nos cousins Néandertaliens, qui ont laissé des traces de ces derniers parmi nos gènes. Remontant encore plus loin dans le temps, des chercheurs viennent d’identifier un chromosome d’Homo sapiens qui a pris la place de son homologue néandertalien il y a plus de 100 000 ans, peut-être même plus de 300 000 ans.

L’anémone de mer, cette chose qui ressemble à une plante sous-marine mais appartient bel et bien au règne animal, a une façon bien particulière de réagir à l’abondance de nourriture: elle se confectionne de nouveaux tentacules.

On aurait découvert, dans l’atmosphère de la planète Vénus, un indice comme quoi il y aurait de la vie là-bas, ont vibré cette semaine tous les médias et toutes les alertes de réseaux sociaux. Bien que l’annonce soit sérieuse, il subsiste de nombreux bémols, constate le Détecteur de rumeurs.