Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    0 Shopping Cart
    • Accueil
      • Notre équipe
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Science»La mutation qui a donné un coup de pouce au nouveau coronavirus
    Une mutation survenue en début de pandémie aurait contribué à la grande viralité de la COVID-19.

    La mutation qui a donné un coup de pouce au nouveau coronavirus

    0
    Par Agence Science-Presse le 1 décembre 2020 Science

    Au tout début de la pandémie, le coronavirus semble bel et bien avoir subi une mutation qui l’a rendu plus contagieux et lui a donc permis de se répandre plus vite. Cette mutation ne serait toutefois pas responsable des complications médicales et n’aurait pas entraîné un taux de décès plus élevé.

    C’est maintenant depuis mai dernier que les chercheurs débattent de l’impact précis de cette mutation, qui avait alors été appelée 614G. Elle avait été identifiée dans une prépublication de chercheurs du Laboratoire de Los Alamos: elle avait surtout pour caractéristique d’être devenue dominante dans les « versions » du virus qui s’étaient répandues en février en Europe puis en Amérique du Nord.

    Les preuves d’une association entre cette mutation et la capacité du virus à infecter un plus grand nombre de gens étaient toutefois minces, et l’un des contre-arguments était celui du coup de chance: la « version 614G » du virus avait pu être la première à voyager en Italie, et à partir de là, bénéficier d’un avantage « fondateur » sur celles qui allaient suivre.

    Mais d’autres recherches, sur des gens qui ont attrapé le virus et sur des hamsters à qui on l’a injecté, ont depuis renforcé l’idée initiale. Ceux qui en sont porteurs auraient une plus grande charge virale dans leur nez et dans leur gorge, ce qui les rend plus infectieux. Avec pour résultat que la pandémie aurait peut-être été moins inquiétante, si ce n’avait été de cette petite mutation au niveau des gènes des « épines » du virus —qui lui permettent de s’accrocher à nos cellules. Au Vietnam et en Thaïlande, il a été suggéré que cette mutation pourrait expliquer qu’alors que la première vague avait été bien contrôlée, l’ampleur de la deuxième a pris les autorités par surprise et causé plus de malades et de décès.

    Dès le mois de mai, il avait été établi que la « version 614G » était celle qui avait frappé très fort en Europe en février, notamment dans le nord de l’Italie, et que depuis l’Europe, elle s’était ensuite répandue en Amérique du nord.

    Par contre, être plus infectieux ne veut pas dire avoir plus de symptômes: aucune des études jusqu’ici n’a trouvé de corrélation entre les cas les plus graves et le fait d’avoir été contaminé par cette variante plutôt qu’une autre.

    Abonnez-vous à l’infolettre!


    À qui appartient un dinosaure?

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    30 mai 2023

    La ligne de suie, une nouvelle méthode pour chercher des planètes habitables

    30 mai 2023

    Spéculations sur l’avion spatial chinois

    28 mai 2023

    Publications scientifiques : la Chine prend la première place

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • FTA
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    2 juin 2023

    FTA – Cispersonnages en quête d’auteurice… et de sens

    2 juin 2023

    Les fausses rumeurs électorales pourraient entraîner une « spirale de la mort » démocratique

    1 juin 2023

    Warhammer 40K: Boltgun, ou l’art de purger les hérétiques pour l’Empereur

    1 juin 2023

    The Pope’s Exorcist, quand Russell Crowe s’amuse… mais pas nous

    1 juin 2023

    Oui, les femmes enceintes avaient raison de craindre la COVID-19

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.