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Les premiers scientifiques qui ont péniblement reconstitué les génomes d’humains ayant vécu il y a des milliers d’années, auraient eu de la difficulté à croire qu’à peine deux décennies plus tard, on en serait rendu à pouvoir étudier les gènes… des microbiomes de ces mêmes humains.

Des chercheurs de l’Université de Manchester ont réussi à jeter un nouvel éclairage sur la façon dont notre peau se répare, rapprochant la médecine toujours un peu plus près de la régénération des organes.

Une fois par 20 ans, les « gardiens » de cette expérience scientifique se réunissent la nuit, dans un endroit connu d’eux seuls, et déterrent quelques graines.

Loin d’être les carnivores qu’on imagine souvent, les chiens domestiqués d’il y a quelques milliers d’années se nourrissaient beaucoup de céréales comme le millet — celles-là même que cultivaient leurs humains préférés.

Ce sont les plus vieux décodages de génomes d’Homo sapiens: 43 à 46 000 ans. Et ils contiennent deux surprises: plusieurs de ces premiers Homo sapiens d’Europe avaient des Néandertaliens dans leur arbre généalogique; et ces Européens ne sont pas reliés aux actuels Européens.

Beaucoup de variants, mais pas beaucoup de variété: c’est ce qui semble se dégager des analyses génétiques de la dizaine de mutants qui ont à présent été observés un peu partout dans le monde.

Combien y a-t-il de coraux dans le Pacifique? Environ 500 milliards, soit autant que le nombre d’oiseaux sur Terre. Avec tout ce que cela implique s’ils venaient à disparaître.

Après l’Angleterre, les perruches sauvages envahissent l’Irlande. L’espèce a beau être bien jolie et faire la joie des touristes et des enfants, la place croissante qu’elle occupe commence à inquiéter les écologistes.

Trouvées sous 900 mètres de glace et à près de 300 km de l’accès à l’océan le plus proche: la résilience de certaines formes de vie sous la calotte glaciaire de l’Antarctique continue d’étonner.