
La résilience des coraux
Combien y a-t-il de coraux dans le Pacifique? Environ 500 milliards, soit autant que le nombre d’oiseaux sur Terre. Avec tout ce que cela implique s’ils venaient à disparaître.
Combien y a-t-il de coraux dans le Pacifique? Environ 500 milliards, soit autant que le nombre d’oiseaux sur Terre. Avec tout ce que cela implique s’ils venaient à disparaître.
Des chiens ont accompagné certains des premiers habitants des Amériques, il y a 16 à 17 000 ans.
Après l’Angleterre, les perruches sauvages envahissent l’Irlande. L’espèce a beau être bien jolie et faire la joie des touristes et des enfants, la place croissante qu’elle occupe commence à inquiéter les écologistes.
Trouvées sous 900 mètres de glace et à près de 300 km de l’accès à l’océan le plus proche: la résilience de certaines formes de vie sous la calotte glaciaire de l’Antarctique continue d’étonner.
Des scientifiques du Francis Crick Institute ont découvert d’importantes similarités structurelles entre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la COVID-19, et un coronavirus qui infecte les pangolins, ce qui porte à croire que ledit virus pourrait infecter les humains.
Les populations de requins ne sont pas seulement en déclin, elles approchent de la catastrophe.
Un poisson d’eau douce australien vient de battre le record du plus gros génome connu: 43 milliards de paires de base, ce qui est 30% plus gros que le détenteur du précédent record, et 14 fois plus gros que le génome humain.
Des ingénieurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’Imperial College de Londres ont mis au point une nouvelle méthode pour produire des matériaux résistants et fonctionnels en utilisant un mélange de bactéries et de levure similaire aux « mères de kombucha » utilisées pour produire du thé fermenté.
Un panda qui s’enduit de merde de cheval: est-il malade, a-t-il perdu son odorat? Des scientifiques chinois affirment que non… et il leur a fallu 12 ans pour proposer une explication.
Au tout début de la pandémie, le coronavirus semble bel et bien avoir subi une mutation qui l’a rendu plus contagieux et lui a donc permis de se répandre plus vite. Cette mutation ne serait toutefois pas responsable des complications médicales et n’aurait pas entraîné un taux de décès plus élevé.