Browsing: biologie

Des chercheurs de l’Université de Washington ont conçu un filtre qui traite les eaux usées et permet aussi de produire de l’électricité. Selon les chercheurs, cette percée pourrait permettre de transformer l’utilisation de l’énergie dans les usines de traitement.

La plus grande attaque de requins de l’histoire n’a pas impliqué d’humains. Une nouvelle étude de scientifiques de Yale et du College of the Atlantic a mis au jour la mort d’un très grand nombre de requins, il y a environ 19 millions d’années. L’événement s’est produit à une période de l’histoire où l’on trouvait au-delà de 10 fois plus de requins dans les océans qu’aujourd’hui.

Une association internationale de chercheurs spécialisés dans les cellules souches vient pour la première fois de toucher à ce qu’on appelle « la règle des 14 jours »: elle fait passer de « interdit » à « autorisé dans certaines circonstances » la possibilité de faire croître un embryon au-delà de cette limite de temps.

Agacement, dégoût, peur… La liste des émotions suscitées par les insectes est longue et peu reluisante. Est-il possible de susciter de l’empathie à l’égard de ces petites bêtes? C’est le pari lancé par l’Insectarium de Montréal pour amener le visiteur à s’interroger sur son impact sur la biodiversité.

Une nouvelle étude indique que le rythme actuel de déclin de la biodiversité, dans les écosystèmes fonctionnant à l’aide d’eau douce, est plus élevé que lors de l’extinction, vers la fin du Crétacé, qui a signé l’arrêt de mort des dinosaures: les dégâts qui sont causés en quelques décennies, voire quelques siècles, pourraient nécessiter des millions d’années pour que la situation revienne à la normale.

50 milliards d’oiseaux — mais seulement 4 espèces dominantes. C’est le résultat d’un ambitieux « recensement » mondial, ou plus exactement une estimation, qui révèle avant tout qu’un très grand nombre d’espèces sont composées d’un nombre dangereusement bas d’individus.

Les premiers scientifiques qui ont péniblement reconstitué les génomes d’humains ayant vécu il y a des milliers d’années, auraient eu de la difficulté à croire qu’à peine deux décennies plus tard, on en serait rendu à pouvoir étudier les gènes… des microbiomes de ces mêmes humains.

Des chercheurs de l’Université de Manchester ont réussi à jeter un nouvel éclairage sur la façon dont notre peau se répare, rapprochant la médecine toujours un peu plus près de la régénération des organes.

Une fois par 20 ans, les « gardiens » de cette expérience scientifique se réunissent la nuit, dans un endroit connu d’eux seuls, et déterrent quelques graines.

Loin d’être les carnivores qu’on imagine souvent, les chiens domestiqués d’il y a quelques milliers d’années se nourrissaient beaucoup de céréales comme le millet — celles-là même que cultivaient leurs humains préférés.