Chaque année, les spectacles des finissants de l’École nationale de cirque font dresser les poils des bras. Leur qualité et remarquable et les finissants circassiens sont emplis de fierté. C’est magnifique à voir, mais c’est surtout un spectacle à ne pas manquer.
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Quartier décimé, quartier pauvre, souvent uniquement ramené à ce qui fut jadis, Centre-Sud est un endroit pas comme les autres auquel la documentariste et cinéaste Anaïs Barbeau-Lavalette et l’acteur et comédien Émile Proulx-Cloutier donnent vie sur les planches de l’Espace libre.
Sur la scène de La Chapelle, deux hommes s’affrontent dans un tournoi dont les règles, pourtant bien précises, finissent par être perverties selon le bon vouloir de l’arbitre. Et dans la salle, le public se prend au jeu. Du moins, pour un temps.
Produit par…Les Improduits, l’événement a lieu environ deux fois par année. L’idée d’ImproCirque est de proposer une nouvelle manière de présenter du cirque contemporain, de découvrir ses disciplines et ses artistes en tous genres.
« Je t’ai presque quitté à cause de la plus stupide des idées reçues : je croyais que l’amour serait une chose facile. » Une chose facile, l’amour?
Dans son troisième spectacle intitulé Apprendre à s’aimer, Jean-Thomas Jobin veut amener son public à réfléchir. Au fil d’anecdotes plus personnelles et de conseils psycho-pop, on le suit dans sa quête de l’amour propre…sur une route trop cahoteuse.
En repêchant les joueurs de la Ligue Nationale d’Improvisation (LNI), le directeur artistique et codirecteur général de l’Espace Libre, Geoffrey Gaquère a renoué avec l’esprit d’un des deux fondateurs du théâtre, Robert Gravel. Avec le retour de la LNI, du souper de filles à succès Table rase et de la comédie Lettres arabes, la saison 2016-2017 lancée à l’Espace libre le 18 avril dernier s’annonce tout aussi débordante.
Réunissez la comédienne chouchou des Québécois, le plus grand écrivain et dramaturge du Québec, un texte marquant, une brillante mise en scène et… vibrez! Quand Guylaine, Michel et Nana se rencontrent, tout ce qu’il reste à faire est de se laisser bercer par ce joyau pénétrant d’authenticité et de tendresse.
Le départ. La déchirure. Le vide. Quand l’amour meurt, ne reste souvent que les souvenirs et la tristesse. Dans le cadre d’une création conjointe avec le Centre dramatique national de Haute-Normandie, l’Espace Go présente Les lettres d’amour, une mise en scène de David Bobée et des textes d’Évelyne de la Chenelière.
Cinq gars, cinq filles, trois planches de plywood. C’est tout. Pas de décors grandioses, pas de flafla. Juste l’essentiel. « Juste » des corps. On sent tout de suite que les dix acteurs en ont long à dire et qu’ils ne mettront pas de gants blancs jusqu’aux coudes. D’entrée de jeu, la voix de Jean Charest et une foule qui manifeste. Ça vous rappelle quelque chose?