Le texte d’Anatomie d’un suicide, notamment avec ses échanges quasiment intergénérationnels, est très bien interprété par une solide distribution. Dommage, toutefois, que plusieurs autres éléments viennent franchement gâcher l’expérience. Le sujet est brutal, mais nécessaire, certes. Ce qui est moins nécessaire, c’est d’irriter les spectateurs.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
Hugo et Kevin font un tour par les Rencontres internationales du documentaire de Montréal pour deux oeuvres explorant autant de facettes de ce genre cinématographique.
Comme cela est le cas avec les autres livres du genre publiés chez Hurtubise, l’enjeu n’en est pas un d’accès à l’information. Le hic, avec L’ultime encyclopédie, c’est que l’ensemble est si surchargé d’informations que l’on se demande franchement si l’on ne va pas écoper d’un mal de tête en voulant en apprendre davantage sur les araignées sauteuses… ou sur les trois noirs. C’est bien dommage.
« Nous ne sommes pas là pour faire la morale… Nous sommes là pour partager une douleur avec énergie. »
Débordant d’informations, avec une qualité visuelle indéniable et la capacité de trouver un équilibre entre un livre uniquement réservé aux plus jeunes, et un autre qui ne s’adresserait qu’aux spécialistes les plus outillés, Habitats n’est pas sans faille, certes, mais demeure un guide franchement utile pour découvrir ou redécouvrir cette planète toujours plus fragile.
Lorsque défile enfin le générique de fin de cette deuxième saison d’Arcane, on se dit que l’oeuvre devrait certainement plaire aux millions d’amateurs de League of Legends qu’au spectateur lambda, qui cherchait un chouia de structure et de logique dans cette foire d’empoigne fort jolie, au demeurant.
Oui, la formule est un peu connue, après tant d’années, mais Skinny prouve malgré tout que Jim Gaffigan a encore quelque chose à dire. Et, de façon encore plus importante, il a toujours la capacité de nous faire rire en le faisant. À voir, donc, sur Disney+.
Dure, angoissante, voire particulièrement anxiogène, surtout dans la foulée de la réélection de Donald Trump, dont l’opportunisme religieux n’a d’égal que sa tendance à vouloir pourtant ressembler aux marchands du Temple, Clandestines a des allures de brûlot qui prend aux tripes.
Il « manque » encore 23,1 millions de déplacements mensuels, comparativement à ce qui avait été enregistré en septembre 2019, bien entendu avant la COVID-19.
Trente ans après sa sortie, ce film réalisé et coscénarisé par Patrice Chérault crève toujours l’écran. Chloé Baril et Hugo Prévost discutent de ce chef-d’oeuvre indémodable.