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Samedi dernier, la Festival Orford musique présentait Suzie LeBlanc  chants des Ursulines, dans la nef de l’Abbaye Saint-Benoît-du-Lac. Au-delà de la prestation musicale dont nous reparlerons plus loin, le programme de ce concert attire fortement l’attention, car il est principalement constitué de partitions qui ont été retrouvées dans les archives du couvent des Ursulines de Québec par la docteure en musique et soprano, Elizabeth MacIsaac.

En ce 13 juillet, dans le cadre du Festival Orford musique, les organisateurs recevaient le quatuor à cordes espagnol Quiroga: Aitor Hevia et Cibran Sierra au violon, Joseph Puchades à l’alto, et Helena Poggio au violoncelle.

La place des arts recevait vendredi soir une nouvelle visite du petit sorcier à lunettes et de sa bande dans le cadre d’un « ciné-orchestre » d’Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban. Devant un écran géant de 12 mètres, l’œuvre du compositeur John Williams prend vie devant nos yeux. La musique est interprétée en direct par un orchestre symphonique et un chœur; la piste audio du film lui-même ne contenant que le dialogue des acteurs.

Samedi dernier, à la salle Marguerite-Bourgeoys du collège Regina Assumpta, avait lieu le concert de printemps de la 13e saison de l’OVNI, l’Orchestre à vents non identifié. Sous la direction de Jonathan Dagenais, ce ne sont pas moins d’une cinquantaine de musiciens qui ont livré un programme plutôt chargé.

Dans le cadre de ses démarches pour rajeunir et diversifier le public assistant à ses concerts, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait mardi soir une projection du film E.T., l’extraterrestre. Pour l’occasion, la cheffe Dina Gilbert était aux commandes des musiciens pour donner vie à la fantastique trame sonore concoctée par le non moins excellent John Williams.

L’OSM présentait mercredi soir un concert dédié exclusivement à la musique de films de science-fiction, reprenant notamment au programme des grands classiques comme 2001 l’odyssée de l’espace, Star Wars ou encore Retour vers le futur. Sans tomber dans la facilité dans le choix d’un tel programme, l’orchestre livra une prestation appréciée des jeunes et moins jeunes spectateurs, mais l’interprétation de l’orchestre semblait, hélas, parfois peu inspirée.

Ce n’est pas la première fois que l’orchestre baroque Arion se permet une incursion dans un répertoire qui est postérieur à l’époque baroque. Pour le dernier programme de sa série montréalaise 2017-2018, Arion s’est permis de piger dans le répertoire de W.A. Mozart et dans celui de Joseph Haydn.

Immensité des paysages nordiques: voilà le titre que la direction artistique de l’Orchestre symphonique de Montréal avait choisi de donner au concert du 25 avril dernier, à la Maison symphonique. En fait, trois des quatre compositeurs au programme peuvent être qualifiés de nordiques. Il s’agit de Jon Leifs, islandais, Uuno Klami et Jean Sibelius, tous deux finlandais. Le quatrième mousquetaire, pas nordique pour deux sous, Piotr Ilitch Tchaïkovski.

Ce dimanche après-midi, à la Maison symphonique, la scène était encombrée: il y avait dessus un piano et Maurizio Pollini. En fait, on pourrait dire que la salle au complet était remplie de M. Pollini et de son interprétation. Mais revenons un peu en arrière et énumérons le programme de ce récital organisé par l’Orchestre symphonique de Montréal.

Vendredi soir dernier, le quatrième concert de la série montréalaise d’Arion Orchestre baroque avait lieu sous l’archet du violoniste et chef invité russe, Boris Begelman.