Sur une île isolée de l’hémisphère sud, un jeune officier de la marine britannique s’installe pour un an, avec comme seule mission d’échapper à la folie d’un monde qui vient de plonger dans la Première Guerre mondiale. Il comprendra cependant bien vite que l’île recèle un secret tout aussi mortel qu’étrange.
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It’s back again! Fantasia International Film Festival returns, and there are many great movies to watch. There are a handful of animated films, a couple of Westerns (which I reckon will be wilder than the shootout at the Ok Corral) and more revenge films than there are drops of blood in my body.
L’alerte d’incendie retentit. Où allez-vous… si vous êtes aveugle et résidez au neuvième étage?
Quasiment un siècle après la Loi constitutionnelle de 1867, la monarchie constitutionnelle parlementaire fédérale s’est munie d’une image nationale. Le documentaire Design Canada (2018) de Greg Durell, projeté au Cinéma du Parc, témoigne de cette mise en forme du Canada qui a pris son essor à l’Expo 67 de Montréal.
Sans doute l’un des moins aimés des moyens de transport en commun des villes, et pourtant essentiel, l’autobus gagnerait à être mieux soutenu financièrement par les autorités locales, avance une récente étude québécoise.
Avec La chute de l’empire américain à l’affiche depuis le 28 juin, le cinéaste Denys Arcand tente-t-il de raviver la flamme de son classique, Le déclin de l’empire américain (1986) ou éteint-il la flamme de la statue de la Liberté ?
À quelques mois des élections, et toujours confortablement installée en tête des sondages, la Coalition avenir Québec (CAQ) a dévoilé cette semaine son plan de « décongestion » de la grande région de Montréal. Au programme: davantage de transports en commun, mais aussi l’élargissement d’autoroutes en banlieue, pour « avantager les familles ».
La place des arts recevait vendredi soir une nouvelle visite du petit sorcier à lunettes et de sa bande dans le cadre d’un « ciné-orchestre » d’Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban. Devant un écran géant de 12 mètres, l’œuvre du compositeur John Williams prend vie devant nos yeux. La musique est interprétée en direct par un orchestre symphonique et un chœur; la piste audio du film lui-même ne contenant que le dialogue des acteurs.
Dans l’habitacle confiné de votre robot de combat, tout va trop vite. Sur l’écran radar, l’ennemi se rapproche. Soudain, une volée de missiles plonge vers vous; les mains agrippant fermement les contrôles, vous réussissez à esquiver la salve meurtrière. Heureusement, le champ de bataille est virtuel, et le cockpit se trouve en fait dans les bureaux de Hangar 51, un lieu destiné aux nostalgiques et amateurs de réalité virtuelle.
Il y a quelque chose d’ulcérant à écouter Main basse sur la ville, à observer la médiocrité urbaine étalée à l’écran dans toute sa gloire putrescente. Le documentaire de Martin Frigon, projeté au Cinéma du Parc depuis la toute fin du mois de mars, lève le voile sur l’emprise des grandes compagnies sur le développement de Montréal et des banlieues.