Judd Apatow nous revient avec ce qui pourrait bien être sa production la plus délicate et sincère à ce jour, The Big Sick, permettant au brillant Kumail Nanjiani (dans son propre rôle, ou presque) d’enfin briller à la pleine hauteur de son talent. Se dévoile rapidement une comédie romantique au penchant dramatique aussi poignant qu’irrésistible.
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Mais qu’allait-on donc faire dans cette galère? Voilà que la célèbre phrase du Menteur, de Corneille, vient à l’esprit en écoutant, un dimanche en fin de soirée, la reprise du classique Conan the Barbarian sortie en 2011. S’il est vrai que l’original, mettant en vedette nul autre qu’Arnold Schwarzenegger, était loin d’être parfait, la reprise, elle, est tout simplement immonde.
The Bad Batch was a hard movie to find. It has a popular cast and an even more popular concept; I would expect it to be advertised more than it currently is. It stars such powerhouses as Keanu Reeves, Jim Carey and Jason Momoa. Add an upcoming female lead (played by Suki Waterhouse) and throw them in a post-apocalyptic environment with a cannibalistic cult and you should have a hit. This movie just screams blockbuster. Instead, it sort of just appeared. Unfortunately, this movie won’t be in theatres for long. It is popular enough to get a handful of people to come out to the opening night at midnight on Friday during a national holiday.
À l’intérieur d’une maison massive, le cinéaste danois Thomas Vinterberg (La chasse (2012)) met en scène une dynamique de groupe en suspens dans le temps. La communauté (2016) sera à l’affiche au Québec dès le 30 juin.
Qui est Laura? La jeune femme, employée dans une bibliothèque le jour, grande romantique la nuit, vogue d’écueil amoureux en écueil amoureux, s’accrochant à ce qu’elle peut, avec les séquelles que l’on peut imaginer. Dans Seven Lovers, le public explore ainsi les méandres des relations de cette femme qui ne sort pas indemne de toutes ces rencontres.
When Rough Night was advertised I heard a lot of people describe it as « The…
Si les airs de déjà vu ne vous importent pas, vous aurez bien du plaisir avec la suite de Papa ou maman, beau succès au box-office français, qui reprend à quelques détails près toutes les simagrées du premier film.
À l’heure où la route Transamazonienne, la fonte des glaces de l’Arctique et des siècles de colonisation privent les peuples autochtones de leur écosystème au bénéfice des « Blancs » atterrissant et envoyant un émoticône où ils veulent… les cinéastes Martin Butler et Bentley Dean porte à l’écran un épisode survenu en 1987 d’une peuplade autochtone d’une île d’Océanie dans le film Tanna (2015).
Alors que Tom Cruise tient la tête d’affiche dans la plus récente adaptation du mythe de la momie, avec un film aux allures de produit principalement exportable sur les marchés étrangers et au résultat culturel exécrable, cette énième itération de cette histoire de monstre aux bandelettes donne l’occasion de reculer près de 20 ans en arrière, alors qu’une autre vedette, Brendan Fraser, pourchassait le mort-vivant égyptien dans The Mummy et The Mummy Returns.
Disney a passé des décennies à enrober les jeunesses des uns et des autres de rêves tous plus beaux les uns que les autres. Au fur et à mesure qu’il est devenu le terrible monstre capitaliste qu’on connaît aujourd’hui, il semble s’être donné comme mission récemment de détruire peu à peu tous cesdits rêves pour se mettre à la sauce formatée d’aujourd’hui. Sa reprise en « réel » de l’indémodable Beauty and the Beast ne fait pas exception et promet beaucoup de cauchemars.