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Terminus est une pièce de l’auteur irlandais Mark O’Rowe traduite par Olivier Choinière et mise en scène par Michel Monty. Elle est présentée jusqu’au 29 octobre au Théâtre de La Licorne. Préparez-vous, cher public, à un univers avec des airs de fin du monde. Un univers où chaque personnage passe une nuit difficile, une nuit endiablée.

Revisitant un moment crucial de la présidence de Lyndon Baines Johnson, soit l’adoption du Civil Rights Act de 1964, le téléfilm All The Way de Jay Roach puise dans l’histoire pas si lointaine pour créer un drame captivant, qui illustre très bien la division raciale régnant encore aux États-Unis.

Décrire La LOBA en un seul mot relève pratiquement de l’impossible, mais le mot le plus approprié serait sans doute atypique. Production atypique, concept qui sort du connu et du commun, La LOBA n’est pas vraiment un spectacle de danse dans le sens le plus strict du terme, mais un parcours chorégraphique dans lequel chaque visiteur vivra une expérience très personnelle.

Après son passage remarqué à l’Usine C l’automne passé, le collectif hystérique Chiens de Navarre en remet cette année avec un autre projet dingue: Les armoires normandes. Dans cette nouvelle livraison disjonctée, mise en scène par Jean-Christophe Meurisse, la meute fait cette fois l’autopsie de l’amour sous le signe du cynisme et de la folie.

De tous les remakes qu’on aurait pu éviter, The Magnificent Seven, qui s’inspirait pourtant déjà du brillant Seven Samurai, se hisse assez aisément au haut de la liste. Sans saveur, sans rythme, sans rien, à l’exception de plusieurs gros noms, disons qu’on a ici la mort du western sur pellicule.

Véritable ovni cinématographique, The Dressmaker fascine pendant assez longtemps tellement ses nombreuses propositions, aussi étranges paraissent-elles, se mélangent et fonctionnent avec étonnamment de succès. Et ce jusqu’à un dernier acte complètement risible qui gâche en un rien de temps tout le potentiel qu’on y avait relevé précédemment.

La planète est aux abois: partout, des chercheurs se suicident pour des raisons inexpliquées. Les gouvernements du monde entier se retrouvent soudainement en guerre contre une organisation secrète. Et dans une Chine toujours marquée du fer rouge de la Révolution culturelle, un spécialiste de la nanotechnologie devra repousser une invasion extraterrestre.

Samedi soir, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des arts, avait lieu la première de l’opéra Aïda, du compositeur Giuseppe Verdi. Le Chœur de l’Opéra de Montréal et l’Orchestre Métropolitain étaient sous la direction de Paul Nadler qui a déjà dirigé plusieurs productions avec l’Opéra et dont la dernière était Turandot, en 2014.