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Fantastique ouverture de saison, mardi soir à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal donnait, pour entamer sa 84e année de programmation, la célèbre symphonie « Des mille » de Gustav Mahler.

Le milieu culturel québécois se porte bien… du moins, lorsqu’il est question des revenus des ventes de billets pour les arts de la scène. Selon une note d’information publiée jeudi par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), ces revenus ont bondi de 20% par rapport à 2015, pour atteindre 278 millions $. Un sommet depuis 2004.

Une heure en compagnie d’Anne Plamondon seule en scène, c’est presque du luxe tant c’est un plaisir de la voir articuler son corps sous nos yeux. Si l’aspect dramaturgique est difficile à saisir – mais c’est rarement ce qui nous mène à la danse contemporaine – la recherche sur le mouvement est fort bien menée.

Luc Picard, en plus d’être une tête d’affiche importante dans le cinéma québécois, a également revigoré notre cinéma à plus d’une reprise en tant que réalisateur. Malheureusement, nul coup de poing n’a été aussi frappant que son sincère L’audition. Plus d’une décennie plus tard, en plus d’être foncièrement risible à plus d’un niveau, Les rois mongols sent davantage l’opportunisme à plein nez au lieu d’être une œuvre aussi sentie qu’elle se le laisse croire.

Chez Boréal, on publiait le mois dernier le plus récent ouvrage de Stéphanie Filion, qui a déjà écrit des carnets et deux recueils de poésie. Cette fois, c’est d’un roman qu’il s’agit et c’est intitulé Grand fauchage intérieur, en référence à un mouvement de judo qui porte le même nom.

À l’Opéra de Montréal, le 16 septembre dernier, avait lieu la première de l’opéra Tosca, de Puccini, dans une mise en scène de José Maria Condemi et Andrew Nienaber (remontage), sous la direction du chef Giuseppe Grazioli. Les rôles principaux sont tenus par Melody Moore-Wagner, soprano, dans le rôle de Floria Tosca, Giancarlo Monsalve, ténor, dans le rôle de Mario Cavaradossi et Gregory Dahl, baryton, dans celui de l’infâme Scarpia.

Depuis le 6 septembre et jusqu’au 14 octobre, le théâtre Jean-Duceppe présente, en collaboration avec Le Trident et LAB87, Quand la pluie s’arrêtera. Il s’agit d’un texte d’Andrew Bovell, traduit et mis en scène par Frédérick Blanchette. Dans la distribution, on retrouve Véronique Côté, Normand d’Amour, David Laurin, Christian Michaud, Alice Pascual, Marco Poulin, Paule Savard, Linda Sorgini et Maxime Robin.

Il arrive parfois qu’à l’écoute d’un nouvel enregistrement d’une œuvre célèbre on ait l’impression d’avoir entendu la même chose un bon nombre de fois. Dans cette nouvelle parution des Nocturnes de Chopin, nous échappons heureusement à cette sensation.